La Décision du Comité central du Parti communiste chinois concernant la grande révolution culturelle prolétarienne a permis aux masses populaires de notre pays d’entendre la voix de notre grand dirigeant, le camarade Mao Tsé-toung.
Cette Décision a dressé le bilan des nouvelles expériences accumulées par les larges masses en Chine au cours de la révolution culturelle prolétarienne. Elle reflète leur esprit d’initiative révolutionnaire.
Le camarade Mao Tsé-toung dit : II faut faire connaître notre politique non seulement aux dirigeants et aux cadres, mais aussi aux larges masses.
Une fois qu’elles auront connu la vérité et qu’elles se seront fixé un but commun, elles travailleront d’un seul cœur. Quand les masses agissent d’un seul cœur, tout devient facile. Les larges masses d’ouvriers, de paysans et de soldats, tous les membres du Parti communiste, tout le personnel révolutionnaire, les intellectuels révolutionnaires, les enseignants et les étudiants révolutionnaires doivent, tous, étudier consciencieusement la Décision du Comité central du Parti.
Ils doivent se familiariser avec elle, la connaître à fond et l’appliquer.
A la lumière des principes et de la politique énoncés dans la Décision, ils doivent faire une étude comparative de la situation de la révolution culturelle dans leurs propres unités au cours de la période précédente, continuer à faire ce qui est juste, corriger résolument ce qui est faux et entreprendre ce qu’il reste à faire. Il y a deux sortes de principes, de politique et de méthodes de travail opposés : la première sorte, c’est de faire confiance aux masses, s’appuyer sur elles, et les mettre en branle hardiment, dans la conviction qu’elles sont capables de se libérer et de s’éduquer au cours de ce mouvement, et de soutenir avec enthousiasme leur esprit et leurs actes révolutionnaires. L’autre, c’est de se tenir du côté opposé aux masses et réprimer leurs mouvements au moment crucial de la révolution. La première, c’est de mettre en pratique la ligne révolutionnaire du marxisme-léninisme et de la pensée de Mao Tsé-toung, tandis que la seconde, c’est de mettre à exécution la ligne erronée opposée au marxisme-léninisme et à la pensée de Mao Tsé-toung.
Il faut fermement repousser cette ligne erronée, la critiquer et lutter contre elle. De cette façon, il sera possible d’appliquer pleinement la juste ligne et de conduire la grande révolution culturelle à la victoire.
La révolution culturelle prolétarienne est une grande révolution, sans analogue dans l’histoire.
Une telle révolution se heurte inévitablement à des résistances de toutes sortes. Comme il l’est dit dans la Décision : « A présent, cette résistance est encore assez forte et opiniâtre. » Pour appliquer à fond cette Décision du Comité central du Parti, il est indispensable de lutter contre la ligne erronée au sein du Parti, contre tous les opportunismes et contre les vieilles forces de l’habitude de la société.
Marx et Engels ont écrit dans le Manifeste du Parti communiste : « La révolution communiste est la rupture la plus radicale avec le régime traditionnel de propriété ; rien d’étonnant si, dans le cours de son développement, elle rompt de la façon la plus radicale avec les idées traditionnelles. »
La grande révolution culturelle prolétarienne, qui se déroule actuellement, a pour but d’éliminer l’idéologie de la bourgeoisie et de toutes les autres classes exploiteuses, d’anéantir les vieilles idées, l’ancienne culture, les vieilles coutumes et les vieilles mœurs qui préparent le terrain pour la restauration du capitalisme, de permettre aux masses, aussi larges que possible, d’assimiler la pensée de Mao Tsé-toung et d’enfanter de nouvelles idées, la nouvelle culture, de nouvelles coutumes et mœurs du socialisme.
En acquérant la maîtrise de cette puissante arme idéologique qu’est la Décision du Comité central du Parti, les 700 millions de Chinois sont assurés de s’unir davantage, de braver tous les obstacles et, avec la force d’une avalanche, de renverser ceux qui, dans le Parti, occupent des postes de direction et s’engagent dans la voie capitaliste, et de balayer tous les génies malfaisants.