A l’enfant-homme, grand, mauvais, charmant, à l’enfant noir, aux yeux brillants, Jonathan Peter Jackson, qui mourut le 7 août 1970, armé de son courage et d’un fusil ; à celui qui fut mon frère, mon camarade, mon ami — au vrai révolutionnaire, au communiste noir pleinement conscient, au guérillero qui mourut le doigt sur la détente en combattant l’iniquité. A cet enfant-homme redoutable, à sa merveilleuse mère Georgia Bea, à Angela Y. Davis, ma douce amie, je dédie ce recueil de lettres ; à la destruction de leurs ennemis, je dédie ma vie.

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