Unité rouge, supplément au n° 22, 25 novembre 1972

Deux voies antagonistes s’opposent à l’intérieur du mouvement marxiste-léniniste : la voie prolétarienne des véritables communistes et la voie révisionniste des organisations bourgeoises qui se sont infiltrées dans le mouvement : le « PCMLB » et le « PCBML ».

Les organisations marxistes-léninistes authentiques qui suivent une ligne opportuniste appartiennent au camp révolutionnaire, mais elles inclinent vers le révisionnisme, étant dans une certaine mesure sous l’influence idéologique de la bourgeoisie. Ces organisations hésitent entre la révolution et la contre-révolution. Lorsque leur cours n’est pas rectifié, lorsqu’elles « approfondissent » leurs erreurs, elles finissent par sombrer dans le révisionnisme.

Le groupe Garde Rouge (GR) est à cet égard un professeur par l’exemple négatif. Son ralliement au « PCMLB » est un succès relatif pour le néo-révisionnisme, mais ce succès se changera en son contraire si les organisations marxistes-léninistes en tirent la leçon.

Les marxistes-léninistes doivent se servir de ce bilan pour corriger leurs erreurs, s’unir sur la base du marxisme-léninisme et chasser le néo-révisionnisme.

GARDE ROUGE TRAHIT LE MARXISME-LÉNINISME ET REJOINT LE NÉO-RÉVISIONNISME.

1. A SES DÉBUTS, GARDE ROUGE ÉTAIT UNE ORGANISATION SPONTANÉISTE.

Des organisations spontanéistes (UUU à Bruxelles, GR à Liège, SVB en Flandre) se sont constituées vers 1968-1969.

Leur activité se limitait à un soutien aux luttes revendicatives du peuple, tout en s’opposant aux tâches communistes de construction du Parti et de propagande de masse. Ces organisations n’étaient donc pas marxistes-léninistes.

GR affirmait qu’il est nécessaire de construire le Parti, mais dans les faits menait une agitation économiste et luttait uniquement contre les syndicats. GR le reconnaîtra d’ailleurs lui-même, fin 1971 :

« Durant ces dernières années, le courant principal qui a caractérisé le mouvement marxiste-léniniste, c’est le spontanéisme. Le spontanéisme est un courant général diffus qui a atteint tous les groupes à des degrés différents, mais personne n’y a échappé. » (Le spontanéisme : un courant dangereux à combattre dans le mouvement marxiste-léniniste.)

Il suffit de lire les trois numéros d’Oser Lutter (journal de GR), les tracts distribués, pour comprendre qu’effectivement le groupe était dominé par le spontanéisme.

Cependant la ligne spontanéiste de GR comprenait des aspects positifs qui permirent à ce groupe de se ranger pendant un temps dans le camp du marxisme-léninisme, lorsque le spontanéisme fut battu en brèche.

GR avait commencé la dénonciation du néo-révisionnisme :

« La rupture (du P « C » B Voix du Peuple) avec le révisionnisme fut peu profonde. Parmi les dirigeants, aucun ne fit une autocritique. La « Lettre en 25 points » a été mal assimilée … Le tout amena le P « C » B (de Grippa) à défendre une ligne politique et des mots d’ordre totalement faux et opportunistes (nouvelle résistance… ) et à attaquer la Révolution culturelle qui constitue la réponse pratique et théorique à l’apparition du révisionnisme.

Différents groupes (Exploité, Clarté) et nous-mêmes sommes issus du parti de Grippa. Lors de la scission, les camarades ont voulu une rupture complète avec le révisionnisme, ont refusé de faire du grippisme sans Grippa. Mais les dirigeants se sont dérobés et n’ont jamais fait la moindre autocritique. Ainsi il y eut bien la Conférence Nationale de La Louvière qui fut bâclée (trois semaines pour la préparer) et se termina par un fiasco. Les dirigeants se dépêchèrent de remettre sur pied un nouvel appareil, comme si eux-mêmes n’avaient pas pris part en tant que dirigeants à la dégénérescence du Parti grippiste. » (Oser Lutter, septembre 1970)

Cette position de départ est évidemment positive, mais elle réclame une analyse approfondie du néo-révisionnisme.

GR avait une volonté de soutenir les groupes révolutionnaires qui se constituaient :

« A côté de cela, il existe plusieurs groupes étudiants (SVB Louvain et Gand, MSE Louvain et dans une moindre mesure UUU à Bruxelles). Ils ont voulu servir le peuple, se lier aux luttes ouvrières. Ils montraient par là qu’ils voulaient être des révolutionnaires. C’était une tâche difficile en l’absence de Parti marxiste-léniniste authentique. Des erreurs ont été commises, mais il faut dire qu’elles sont secondaires et même inévitables. Les résultats, eux, sont excellents. » (Oser Lutter, septembre 1970)

On voit tout de suite le chemin parcouru par GR qui, aujourd’hui, renie ses origines et ment sur le soutien entier qu’il donna à ces groupes :

« A la même époque à Bruxelles, des militants qui allaient constituer le groupe anarchiste UUU scissionnent. Il est fait état d’une relation entre ce qui se produit à Liège et à Bruxelles. En fait, il n’en est rien. Nous voulions le Parti, et non l’anarchie… (Clarté, octobre 1972)

GR avait également une pratique dans la classe ouvrière, avec l’appui des autres groupes révolutionnaires. Cette volonté de servir la classe ouvrière, de se différencier des Partis néo révisionnistes, de se rattacher au marxisme-léninisme étaient des aspects positifs, mais le spontanéisme dominait.

2. LA PARTICIPATION DE GARDE ROUGE AU MOUVEMENT MARXISTE-LÉNINISTE.

En 1971, le mouvement marxiste-léniniste se constitue après avoir vaincu le spontanéisme. Dès ce moment, le mouvement lutte pour passer de l’esprit de cercle à l’esprit de parti, de l’éparpillement à l’union. C’est la lutte pour la première étape de la construction de l’authentique Parti communiste (marxiste-léniniste).

Grâce à la lutte idéologique impulsée par AMADA, puis TPT contre le spontanéisme, GR prit peu à peu conscience de ses erreurs, et développa ses points positifs.

Vers la fin de 1971, dans son début d’autocritique, GR soulignait :

« LA THÉORIE RÉVOLUTIONNAIRE N’EST PAS A DÉCOUVRIR DANS LE MOUVEMENT OUVRIER LUI-MÊME, CAR ELLE LUI EST EXTÉRIEURE ET IL S’AGIT DE L’Y INTRODUIRE (rôle des communistes). »

« …Encore une fois : SANS THÉORIE MARXISTE-LÉNINISTE, C’EST LE MOUVEMENT SPONTANÉ QUI L’EMPORTE. » (Le spontanéisme : un courant dangereux …)

GR chercha l’unité avec les autres organisations marxistes-léninistes au moyen de la lutte idéologique :

« … il était erroné de :

– rejeter la construction du Parti, parce que les conditions ne seraient pas encore réalisées.

– considérer que les marxistes-léninistes doivent être notamment implantés dans les masses pour créer le Parti − ce qui entraîne une coupure entre le travail de construction de cellules et construction du Parti, ainsi que la conception fausse du Parti qui se construit de bas en haut.

– considérer qu’il était nécessaire d’avoir au préalable une ligne politique.

Car en effet, IL FAUT DÉJÀ AU PRÉALABLE UNE ORGANISATION CENTRALISÉE. D’où la nécessité urgente et absolue de créer le Centre National sur la base des principes du marxisme-léninisme, d’une unité de programme (maximum et minimum) et de principes tactiques. » (Ibid.)

Dans la pratique, GR commença un travail de propagande, en rompant avec sa ligne activiste, spontanéiste.

Pour ces raisons, c’est-à-dire pour sa volonté de construire un Parti marxiste-léniniste, de propager le marxisme-léninisme-pensée-maotsétoung en se différenciant des Partis néo-révisionnistes (Clarté, L’Exploité), GR fit partie du mouvement marxiste-léniniste dès la fin 1971.

Cependant de nombreuses erreurs subsistaient, qui ne furent pas corrigées. Ces erreurs furent critiquées par le mouvement marxiste-léniniste. En effet, ce n’est plus seulement le spontanéisme qu’il faut combattre, mais surtout le sectarisme, l’individualisme, parce qu’ils barrent le chemin de l’unité par la lutte idéologique active et qu’ils mènent droit au néo-révisionnisme. Or, l’opportunisme de GR favorisait la désunion du mouvement.

Ainsi l’autocritique de GR sur son spontanéisme était incomplète et cachait des erreurs flagrantes :

« Aujourd’hui, nous pouvons voir à la lumière du marxisme-léninisme et de la pensée maotsétoung que certaines conceptions spontanéistes étaient apparues … Toutefois si ces documents comportent des erreurs, ils ne sont pas à rejeter en bloc. L’ensemble des principes exposés restent valables. » (Ibid.)

GR faisait donc une autocritique à une page, réfutant ses conceptions spontanéistes, puis y renonçait à la page suivante. Un autre texte de la même période de fin 1971 illustre bien ces insuffisances de l’autocritique; il s’agit d’un bilan d’activité :

« Nous aurions dû donner une place plus grande à la propagande politique dans le mouvement. Nous ne l’avons pas fait ! Et cela par libéralisme vis-à-vis des groupes étudiants pour conserver la bonne entente sans principe. Tout cela résulta finalement du manque d’organisation. » (Bilan critique du travail de Garde Rouge, 1970-1971)

Le spontanéisme fut donc mis sur le dos des « groupes étudiants » ! GR alla même plus loin en prétendant qu’il n’était pas nécessaire de faire de la propagande (quelle logique !) :

« Nous ne devons pas dissimuler la faucille et le marteau, ce glorieux emblème, mais nous devons faire en sorte qu’il serve les intérêts des travailleurs. C’est une question de tactique et de connaissance précise des conditions dans lesquelles nous devions travailler; c’est la pratique, la liaison étroite avec les masses qui a pu nous orienter, qui nous orientera dans la bonne voie. Un tract de propagande alors qu’à ce moment nous étions constamment avec les mineurs, n’était pas tellement utile. » (Ibid.)

Il n’y a pas eu d’activité communiste, et la faute en reviendrait aux « étudiants » et à des considérations « tactiques », et non à GR !

L’argument selon lequel « les étudiants sont responsables des déviations spontanéistes et révisionnistes », est une manœuvre habituelle des révisionnistes et des spontanéistes pour camoufler leur propre trahison ! Dans le cas de GR, c’est le refus de reconnaître ses propres erreurs.

Le refus de l’autocritique sincère est une marque d’orgueil, de présomption extrêmement dangereuse pour l’accomplissement des-tâches communistes.

L’attitude en face de la critique est un élément décisif pour juger si l’on a affaire à un communiste soucieux des intérêts de la Révolution, de la recherche de la vérité. Or, GR réagit mal aux justes critiques de TPT sur le spontanéisme et le dilettantisme de son style de travail.

« Des camarades de TPT ont critiqué certaines erreurs que nous commettions l’année dernière (voir Oser Lutter n° 2 et 3). Nous ne pouvons toutefois pas considérer leur critique comme juste. Certes, il y a eu des erreurs graves, mais elles ont été rectifiées depuis. De plus, nous insistions bien qu’ « il serait sot de croire qu’un groupe local semblable au nôtre trouverait spontanément la bonne solution ». A l’époque où ces articles étaient écrits, nous étions pratiquement le seul groupe à proposer un processus d’unification. Les camarades de TPT, alors toujours à UUU, ne se posaient même pas la question du Parti, et maintenant ils voudraient nous accuser de ne pas vouloir le Parti. Jouer les donneurs de leçons n’est pas sérieux. » (Le spontanéisme : un courant dangereux…)

Ceci est écrit dans le même texte qui reconnaît le spontanéisme de la ligne…

GR, toujours à l’occasion des critiques de TPT, répondit par une série de « contre-critiques » improvisées. Ces « critiques » à l’égard de TPT visaient des défauts secondaires exagérés démesurément (longs cheveux de certains camarades) ou se servaient d’arguments minoritaires (sur Staline) en les faisant passer pour la position de TPT.

L’élément extérieur déterminant du revirement de GR fut cependant l’évolution de la lutte idéologique entamée par le mouvement marxiste-léniniste dans le but de réaliser son unité. Déjà les critiques faites à GR faisaient ressortir un certain nombre d’erreurs idéologiques, mais c’est le sectarisme qui apparut rapidement comme étant la déviation principale du groupe.

« Avec des camarades que des divergences nous séparent, il faut rechercher l’unité en affrontant nos orientations et en menant la lutte idéologique. Avec ces camarades, il ne peut être question d’unité organisationnelle, mais il peut y avoir unité d’action à la base ». (Ibid.)

Du moment qu’il existe des divergences, pas d’unité organisationnelle, d’après GR. Comme il existe TOUJOURS des divergences, il s’agit d’un sectarisme exacerbé.

GR fit ensuite « la coquette » entre Lutte Communiste et l’UC(ML)B. Avec cette dernière organisation, GR accepta à deux reprises un plan d’unification à court terme, pour rompre ensuite. Une première fois pour une question tactique (contenu d’un tract) et une seconde fois quand il commença à dégénérer. Avec Lutte Communiste, GR a agi de la même façon. Le sectarisme était chaque fois le plus fort.

Pendant ce temps, la lutte idéologique interne tourna court, et la pratique du groupe se réduisit au point de devenir inexistante. L’esprit militant disparut.

Alors que le mouvement marxiste-léniniste, après son autocritique sincère du spontanéisme, commençait à se délimiter et à s’unir (unification TPT-UR), GR refusa de faire une autocritique franche et complète et n’accepta pas la lutte idéologique. GR voulait préserver son autonomie contre le centralisme démocratique, l’esprit de cercle contre l’esprit de parti.

C’est pourquoi GR essaya petit à petit d’effacer la ligne de démarcation avec le révisionnisme. Ce tournant opportuniste se manifesta d’abord sous une forme « subtile ». GR établit une distinction à lui, entre les amis et les ennemis : il rangea dans les marxistes-léninistes AMADA, UR, TPT, GR et OC et dans les ennemis UUU (tendance spontanéiste) et Lutte de Classe.

En troisième lieu, il rangea Clarté et L’Exploité sous la rubrique « marxistes-léninistes en paroles » (sic !). Cette « nouvelle » nuance entre « communistes en paroles » et ennemis n’a jamais reçu l’approfondissement « théorique » qu’elle mériterait ! Et pour cause. En refusant l’unité, en permettant l’effritement du groupe, en abandonnant toute activité organisée, GR désirait en fait un parti qui lui assure son autonomie, qui accepte le libéralisme, le dilettantisme et qui méprise la théorie marxiste-léniniste.

L’arrivisme et le scissionnisme remplacent le dévouement à la Révolution, la lutte pour l’unité des marxistes-léninistes.

Il faut à GR une façade marxiste-léniniste qui lui permettra de végéter dans un appareil de parti où il aura sa place.

Pour cette raison, le « PCMLB » (Clarté) correspond mieux aux nouvelles positions de GR, dont le bilan est devenu négatif.

3. GARDE ROUGE DÉGÉNÈRE ET REJOINT LE NÉO-RÉVISIONNISME.

GR, en s’opposant irrémédiablement au marxisme-léninisme, n’a plus eu d’autre issue que le néo-révisionnisme.

GR s’est rangé dans le camp de la bourgeoisie et affirme bien haut son appartenance révisionniste :

« Nous comprenons (…) que le PCB (Grippa) était le rejeton du P « C » B que le PCMLB était le rejeton également du PCB (Grippa) et que nous ne pouvions exiger la pureté du PCMLB sorti de ce marais … »

« … nous sommes les rejetons du PCB (Grippa). Nous n’en avons nullement honte. Nous nous revendiquons, comme le PCMLB, de longues années d’expériences du mouvement ouvrier belge et des plus de cinquante ans de lutte souvent glorieuse des communistes de Belgique, y compris avec toutes leurs erreurs qui sont pour nous des enseignements par la négative qui nous serviront dans l’avenir. » (Clarté, octobre 1972)

C’est une affiliation sans réserve au révisionnisme et au réformisme qui depuis longtemps dominent le mouvement ouvrier.

Toutes les luttes glorieuses des classes populaires de notre pays ont été trahies par les dirigeants révisionnistes et réformistes du P « C » B et du PSB. Les Partis néo-révisionnistes poursuivent cette « tradition » !

GR se revendique des traîtres bourgeois infiltrés dans le mouvement ouvrier et le mouvement communiste (marxiste-léniniste), et attaque celui-ci bassement :

« Les différents groupes ne sont pas l’expression de l’histoire du mouvement ouvrier. Ils proviennent du mouvement étudiant radicalisé … Le fait que la petite-bourgeoisie se rapproche du prolétariat ainsi que du marxisme-léninisme est une bonne chose, mais le fait qu’elle veuille diriger le prolétariat, ignorer son Parti et en faire un autre qui serait son expression et où les intérêts de classes seraient conciliés est une mauvaise chose… Les différents groupes qui se proclament du marxisme-léninisme ne peuvent se proclamer l’avant-garde ou le centre constructeur de l’organisation d’avant-garde. » (Ibid.)

Ce mépris envers les communistes intellectuels a pour but de nier la théorie marxiste qui guide notre activité. Il procède du révisionnisme. En effet, l’histoire des révolutions a depuis longtemps mis en évidence le rôle des intellectuels communistes dans la fusion du socialisme et du mouvement ouvrier. Mais le néo-révisionnisme a renié la théorie marxiste-léniniste et voudrait défendre l’idéologie bourgeoise dans le mouvement communiste (marxiste-léniniste).

La dénonciation du néo-révisionnisme faite dans le bulletin marxiste-léniniste 2 a mis à nu cette trahison.

La bassesse du néo-révisionnisme se retrouve déjà développée chez GR, qui écrit à notre sujet :

« Ces camarades n’arriveront jamais même à chatouiller l’Etat des monopoles… » (Clarté, octobre 1972)

La réalité inflige et infligera un démenti cinglant à ces attaques sans principe.

L’échec des Partis néo-révisionnistes opposés au développement du mouvement marxiste-léniniste ouvre les yeux des communistes sincères.

Le mensonge et la calomnie sont les seules armes dont disposent les néo-révisionnistes. L’Histoire a montré le sort qui attend de tels ennemis de la Révolution et de la classe ouvrière.

Le changement de camp de GR est cependant un sérieux avertissement pour le mouvement marxiste-léniniste. Il met en évidence comment une ligne opportuniste, sectaire mène des marxistes-léninistes au néo-révisionnisme, s’ils se refusent obstinément à la rectifier.

L’orgueil, la présomption, l’arrivisme qui se manifestent aujourd’hui dans les organisations marxistes-léninistes essentiellement par le sectarisme, le refus de la critique et de l’autocritique, le compromis avec le révisionnisme, conduisent droit à la trahison.

Par conséquent, il faut combattre le révisionnisme sous toutes ses formes. L’unification du mouvement marxiste-léniniste sera une victoire importante sur le révisionnisme et un grand pas dans la construction du Parti communiste (marxiste-léniniste) authentique.

A BAS LE RÉVISIONNISME !

VIVE LE MARXISME-LÉNINISME !

VIVE L’UNITÉ DES ORGANISATIONS MARXISTES-LÉNINISTES !


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