« Sans marxisme-léninisme-maoïsme nous ne pouvons pas concevoir la pensée Gonzalo , puisque la pensée Gonzalo est l’application créatrice du marxisme-léninisme-maoïsme à notre réalité.
La question clé est la compréhension du processus historique du développement de l’idéologie du prolétariat, de ses trois étapes.
Le processus est concrétisé dans le marxisme-léninisme-maoïsme, le maoïsme étant la principale étape.
La question fondamentale est l’application du marxisme-léninisme-maoïsme, vérité universelle aux conditions concrètes de la révolution péruvienne. C’est pour cette raison que la pensée Gonzalo est spécifiquement fondamentale pour le Parti Communiste du Pérou et de la révolution qu’il dirige. »
» Dans son processus de développement toute révolution dans la lutte du prolétariat comme classe dirigeante et surtout le Parti Communiste qui arbore ses irrévocables intérêts de classe, génère un groupe de chefs et principalement un qui la représente et qui la dirige, un chef d’autorité et ascendant reconnu.
Dans notre réalité ceci s’est concrétisé, par la nécessité et par un hasard historique, en la personne du président Gonzalo, chef du Parti et de la révolution.
De plus les révolutions génèrent une pensée qui les guide, résultat de l’application de la vérité universelle de l’idéologie du prolétariat international aux conditions concrètes de chaque révolution.
La pensée guide est indispensable pour atteindre la victoire et conquérir le pouvoir, plus encore pour continuer la révolution, et maintenir la direction, toujours vers l’unique et grand but : le communisme.
Ceci est le fondement de tout grand dirigeant.
Cette pensée guide, arrivée à un saut qualitatif d’importance décisive pour le processus révolutionnaire qu’elle dirige s’identifie avec le nom de celui qui l’a concrétisée au niveau théorique et pratique.
Dans notre situation ce phénomène s’est spécifié d’abord comme pensée guide, ensuite comme pensée guide du président Gonzalo puisque c’est le président qui en appliquant de façon créatrice le marxisme-léninisme- maoïsme aux conditions concrètes de la réalité péruvienne a généré la pensée Gonzalo, dotant ainsi le Parti et la révolution d’une arme indispensable qui garantie la victoire ».
Premier Congrès du Parti,(Documents Fondamentaux)
Le Comité Central en se réaffirmant sans conditions dans notre cher et respecté président Gonzalo chef du parti et de la révolution qui avec sa toute puissante pensée nous dirige vers notre but le toujours doré communisme ; de même en nous réaffirmant dans le premier Congrès du Parti, Congrès marxiste, un Congrès marxiste-léniniste- maoïste, pensée gonzalo ainsi qu’en nous réaffirmant dans notre Base d’Unité du Parti avec ses trois éléments, nous saluons le peuple péruvien, spécialement les masses des Bases d’Appui qui persistent de manière héroïque dans la défense du Nouveau Pouvoir avec la Guerre Populaire, nous saluons les masses à l’intérieur et en dehors du pays qui servent la guerre populaire, nous saluons le Mouvement Révolutionnaire Internationaliste, les partis et les organisations révolutionnaires qui appuient notre héroïque Guerre Populaire qui fait partie de la Révolution Mondiale.
Le discours du président Gonzalo rayonne victorieux et puissant face au monde, arme le Parti pour surmonter le détour avec la Guerre Populaire en appliquant les accords du III Plénum, un glorieux Plénum, mettant en tension toutes nos forces puisque nous défendons les intérêts du peuple, les principes du Parti, de la Guerre Populaire.
Nous la faisons et continuerons à la faire en arborant au maximum notre drapeau rouge, qui une fois hissé, ne doit plus jamais être baissé.
Le Parti prend une ferme position face à ce qui a été établit par notre Grand Dirigeant qui condamne et écrase ceux qui pensent que nous vivons une grande défaite, c’est simplement un détour dans le chemin de la Révolution, rien de plus.
Il nous faut persister et surmonter le détour avec la Guerre Populaire.
Sans elle il n’y aurait pas de place pour le prolétariat, pour le peuple, pour le Parti.
Sans guerre populaire la révolution ne pourra pas vaincre.
Le Parti en saisissant son rôle d’héroïque combattant applique avec fermeté et résolution la pensé Gonzalo pour résoudre les nouveaux problèmes, en écrasant les campagnes d’encerclement et d’anéantissement à l’intérieur de la guerre de basse intensité élaborée par l’impérialisme yankee, en écrasant les élucubrations de « planification » qui ne sont qu’une défense ferme de l’ordre d’exploitation et d’oppression criée à haute voix par la clique des imbéciles réactionnaires et révisionnistes de tout genre.
Le Président Gonzalo a établi :
» Notre Parti fut fondé pour conquérir le Pouvoir.
Il s’est reconstitué avec cet objectif et débute la lutte armée pour concrétiser ce chemin.
Celui-ci nous a amené à l’objectif immédiat de conquérir le pouvoir dans tout le pays. C’est cette stratégie politique qui doit nous guider, c’est une lutte plus complexe, plus intense, plus glorieuse, il faut achever la révolution démocratique, il faut construire la République Populaire du Pérou.
Tout notre travail est en fonction de cela…. «
De là dérive que le Parti maintient inaltérable le chemin de la révolution face aux problèmes propres du détour, démontrant ainsi une grande capacité de récupération.
Spécifiquement face à la détention du camarade Feliciano le parti a serré les rangs autour du système de direction.
Le Parti s’est consolidé et c’est ainsi qu’il développe la défense de la vie et l’intégrité du camarade Feliciano lié a la défense de notre grand dirigeant avec la Guerre Populaire.
Ceci montre que le Parti a su générer une direction selon nos nécessités, selon notre réalité.
Nous sommes suffisamment forgés, les risques ne nous effraient pas, les dangers ne nous arrêtent pas.
Tout ceci ne sont que des épreuves.
Bienvenues soient-elles !
Nous avons démasqué et fait éclater en mille morceaux la tromperie contre-révolutionnaire fabriquée par le régime fasciste, génocide et bradeur de patrie qui a parrainé la LOD révisionniste, misérables rats révisionnistes, caudillos rampants qui n’ont pas pu supporter un accident de travail. Ils ont été incapables de débattre à l’intérieur de nos rangs. Tout au contraire ils ont fui lâchement.
Ils ont montré leur avidité scissionniste qui fait partie de leur fond révisionniste.
En dehors de nos rangs ils ont arboré leurs noirs et pourris drapeaux de capitulation.
C’est ainsi qu’ils ont agi et continuent à agir en essayant de surprendre les naïfs. Ces misérables traîtres calomnient notre chef en le traitant de capitulard.
Le Parti a démasqué avec des faits, avec des preuves les montages fabriqués.
Le parti a démasqué les tromperies une a une comme par exemple les nommés « autocritiques ».
Nous condamnons et rejetons totalement la position selon laquelle « …Le Président Gonzalo est derrière les lettres (de paix)… » après 6 ans de la présentation de celles-ci.
Ceci ne correspond pas à la réalité, cela signifie faire l’écho des noires vomissures sanglantes du régime fasciste, génocide et bradeur de patrie.
C’est une convergence avec la LOD révisionniste et capitularde.
Le seul appui qu’ils auront sera la pourriture qui émane des cloaques de la réaction, rien de plus.
De façon magistrale notre grand dirigeant a établi et en même temps contribue à la révolution mondiale en définissant : Que le marxisme s’est développé, en précisant que le maoïsme est une nouvelle, troisième et supérieure étape du marxisme.
Etre marxiste aujourd’hui signifie être maoïstes.
Face à ceci le Parti a assumé le solennel compromis d’Arborer, de Défendre et d’Appliquer le marxisme-léninisme- maoïsme, principalement le maoïsme! et de lutter de manière infatigable pour aider à le placer au commandement de la révolution mondiale, seul et lumineux drapeau rouge.
Le maoïsme garanti la victoire pour le prolétariat, pour les nations opprimées et les peuples du monde dans sa marche inexorable combattante, des légions de fer vers le doré et toujours lumineux communisme.
C’est depuis 1966, époque de la reconstitution (du parti) que nous assumons le maoïsme.
Aujourd’hui le Président Gonzalo dans son discours établit :
« …Finalement, écoutons ceci, comment voyons-nous le monde, le maoïsme marche de façon irrépressible pour commander la nouvelle vague de la révolution prolétarienne mondiale entendons-le, comprenons-le !
Assez d’obscurité !
Comprenons cela !
Qu’est-ce qui se déroule dans le monde ?
De quoi avons-nous besoin ?
Nous avons besoin que le maoïsme soit incarné en générant des Partis Communistes pour diriger cette nouvelle grande vague de la révolution prolétarienne mondiale qui arrive, « …Aujourd’hui la réalité nous montre que les mêmes opposants de la 1ere et de la 2ème Guerre Mondiale préparent aujourd’hui la 3ème nouvelle Guerre Mondiale.
Nous devons le savoir puisqu’en étant les fils d’un pays opprimé, nous faisons parti du butin.
Nous ne devons pas permette cela!
Assez d’exploitation impérialiste !
Nous devons en finir avec eux!
Nous sommes du Tiers Monde et le Tiers Monde est la base de la révolution prolétarienne mondiale, à une condition, que se soient les Partis Communistes qui arborent et dirigent !
C’est ce qu’il faut faire ! …. «
Il faut remarquer l’importance des nations opprimées, elles constitueront la base de la révolution prolétarienne mondiale ainsi que la nécessité immédiate de générer des Partis Communistes maoïstes qui développent la Guerre Populaire et dérouler ainsi comme il faut la nouvelle grande vague de la révolution mondiale et imposer le maoïsme au commandement et guide.
Au niveau mondial nous faisons face à une sinistre offensive contre-révolutionnaire générale dirigée par l’impérialisme principalement yankee ; la réaction et le révisionnisme veulent balayer tout ce qui signifie révolution, mais celle-ci est et sera la tendance historique et politique principale.
Le son de cloche sur la paix agitée par l’impérialisme yankee cherche tout bonnement à endormir la conscience des masses pour pouvoir imposer à n’importe quel prix son hégémonie de première super puissance mondiale.
La paix qu’il offre est la paix des baïonnettes, c’est la paix des cimetières.
Nous devons comprendre que ce sont quatre, – SOCIALISME, DICTATURE DU PROLÉTARIAT, PARTI ET MARXISME-LÉNINISME – qui sont attaqués de forme systématique et sinistre. Le socialisme est nié, la dictature du prolétariat est attaquée, la nécessité du Parti est niée et la caducité du marxisme est proclamée.
C’est pourquoi nous devons partir de ce qui a été établi par notre grand dirigeant dans le III Plénum :
Sur le Socialisme :
» …Cinq plans quinquennaux, vingt cinq ans, avec une guerre mondiale qui a causé 25 millions de morts à L’URSS, où ils ont dû appliquer la tactique de la terre brûlée.
L’énergie et les conditions créées à l’époque ont permis un puissant progrès et développement jusqu’aux années 60.
La clique de révisionnistes n’a pas pu arrêter l’expression de la puissante force, de la vitalité des formes générées par le nouveau système .
Le plan quinquennal de 1961 à 1965 donna l’importance aux bases économiques, de 1966 au 1970 et du 1971 au 1975 ce sont pour les bases économiques.
Le premier plan quinquennal donna la priorité au développement de l’industrie lourde, le Président Mao disait : Staline n’a pas su bien manier le système de la production, il n’en a pas tenu compte, il ne l’a pas mis sur les deux pieds : L’agriculture et l’industrie.
Malgré les erreurs commises, la puissance du pouvoir des nouvelles relations sociales ont créées une révolution complète et des bases de développement économique déterminées qui ont satisfait les besoins de millions de personnes et a fait…
Depuis quel système à fait quelque chose de semblable ? Les ÉTATS-UNIS ?
Il a eu son cordon ombilical qui était l’ANGLETERRE.
C’était des bourgeoisies qui en arrivant aux États-Unis n’avaient pas de base féodale qui les gênait. De combien de siècles en ont-ils eu besoin ?
Une longue besogne, 350 ans sans les séparer de l’Angleterre.
En 30 ans ont-ils réussi à faire une patrie aussi grande que l’URSS ? Ont-il pu en finir avec la famine comme en CHINE ? Qui peut s’en vanter ? Personne… »
Ce qui est arrivé en URSS fut la banqueroute du révisionnisme, le révisionnisme est l’avant-garde de la restauration capitaliste, ce n’est pas « …l’effondrement de l’Union Soviétique … » comme disent quelques-uns .
Le Socialisme n’a pas échoué au contraire c’est l’abandon du Socialisme pour s’ajuster au vieux monde impérialiste c’est là qu’ils désintègrent leur système pour faire partie de l’ordre impérialiste mondial.
A propos de la dictature du prolétariat » … ils disent qu’elle est totalitaire : Il faut voir ce que dit le Président Mao dans » A propos de la dictature démocratique populaire « .
Voir qui favorise plus le peuple et la classe ouvrière.
Balayer cette sottise de totalitarisme, vieux mensonge avec lequel ils veulent nous étourdir.
Nous devons montrer les bontés et les avantages que la dictature du prolétariat a donnée au peuple. Que donne la réaction, et la bourgeoisie?… »
A propos du Parti : » Ils proclament le non parti, ils visent à dissoudre la politique de la classe ouvrière, ils veulent seulement la politique de la bourgeoisie… »
Ils rêvent de voir la classe ouvrière sans avant-garde, sans état major, sans leur idéologie scientifique, ce sont des rêves qui finiront en cauchemars.
A propos du marxisme :
» …La bourgeoisie est tellement caduque qu’elle n’attaque pas directement, au contraire elle fait usage d’idées vieilles de deux siècles tout en revendiquant des personnages complètement ultra-réactionnaires, séniles comme Tocqueville, version rose de la dictature bourgeoise nord américaine, elle dit que le marxisme est caduc, qu’il ne sert pas, elle n’attaque pas ouvertement.
A-t-elle une base pour soutenir cela ? Jamais personne n’a prouvé la caducité du marxisme. Seul des apprentis, des saltimbanques comme During et un troupeau de saccageurs du marxisme ont crié au vent.
En synthèse, il faut faire la défense du marxisme, du socialisme, de la dictature du prolétariat, du Parti tenant compte de la grandeur qu’il a généré, des intérêts qu’il a servi et ainsi l’opposer aux intérêts auxquels sert le capitalisme, l’impérialisme, la dictature bourgeoise, les partis bourgeois.
Nous ne sommes pas pour les ambiguïtés.
Pour que la révolution avance nous proclamons la violence pour les grandes séparations.
Le président Mao disait : ‘seul un grand chaos pourra générer le nouvel ordre‘.
Nous n’avons pas eu assez de chaos, il faut générer encore plus , il faut le faire au niveau des idées, faire bouger les idées est vital pour créer une opinion publique, sans cela on ne peut pas conquérir le Pouvoir… «
Ainsi le Parti Communiste du PEROU , demande de saisir le discours comme une arme de combat.
Appliquer la toute puissante pensée Gonzalo pour résoudre les nouveaux problèmes (III plénum), pensée Gonzalo qui est la garantie de la victoire jusqu’au communisme .
Défendre la vie et l’intégrité physique de notre grand dirigent avec la Guerre Populaire. Célébrer le 50ème anniversaire de la révolution en Chine avec des actions qui secoueront ce pourri ordre impérialiste pour introniser ainsi notre idéologie scientifique du prolétariat dans les masses.
VIVE LE PRÉSIDENT GONZALO, CHEF DU PARTI ET DE LA RÉVOLUTION !
VIVE LA TOUTE PUISSANTE PENSÉE GONZALO !
VIVE LE PARTI COMMUNISTE DU PÉROU !
LA GUERRE POPULAIRE VAINCRA INÉVITABLEMENT !
GUERRE POPULAIRE JUSQU’AU COMMUNISME !
VIVE LE MAOÏSME, A BAS LE REVISIONNISME !
VIVE LE TRIOMPHE DE LA REVOLUTION EN CHINE !
COMITÉ CENTRAL
PARTI COMMUNISTE PÉROU.
Septembre 1999