Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !

PCP-17Le Parti Communiste du Pérou, une fois reconstitué comme Parti de nouveau type marxiste-léniniste-maoïste, pensée Gonzalo, sous la Direction [Jefatura] du Président Gonzalo et de sa direction personnelle, a déclenché la guerre populaire au Pérou le 17 mai 1980, avec laquelle le prolétariat et le peuple péruvien, sous la direction du Parti, sont entrés comme protagonistes de l’histoire, protagonistes conscients, de manière organisée, armée et avec laquelle a pris forme la grande rupture, commençant à réaliser l’avenir, la révolution communiste.

La guerre populaire a été déclenchée en 1980, pour ne pas s’arrêter, même pas pour un moment, jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus au communisme ; aujourd’hui, nous comprenons la dimension qui correspond à cela, alors qu’à ce moment là seulement le Président Gonzalo a porté son regard au-delà des décennies pour percer sa grande signification historique.

Nous, au nom du Mouvement Populaire Pérou, l’organisme généré par le Parti Communiste du Pérou pour le travail à l’étranger, exprimons en cette occasion solennelle de célébration du XXXIVe anniversaire de la guerre populaire, notre salutation exultante et notre inconditionnelle sujétion, consciente et volontaire, à notre Direction, le Président Gonzalo, Chef du Parti et de la révolution, qui a défini le marxisme-léninisme-maoïsme comme troisième, nouvelle et supérieure étape de développement de notre idéologie, qui appliquée de manière créatrice à notre réalité nous a donné la pensée Gonzalo, qui est le plus grand marxiste-léniniste-maoïste vivant sur la Terre, qui est le centre d’unification partidaire et la garantie du triomphe qui nous amènera jusqu’au communisme ; à notre toute-puissante idéologie, le marxisme-léninisme-maoïsme, pensée Gonzalo, principalement pensée Gonzalo, toute-puissante parce qu’elle est vraie ; au combattant héroïque, le Parti Communiste du Pérou, qui dirige la guerre populaire, et à son système de direction : le Comité Central, le Bureau Politique et le Comité Permanent.

Nous saluons notre Armée Populaire de Libération, colonne vertébrale du nouveau Pouvoir, sans laquelle notre peuple n’aurait rien.

La crise générale de l’impérialisme s’aiguise de jour en jour, générant des conditions magnifiques pour la révolution prolétarienne mondiale. Les peuples se soulèvent et le prolétariat et les masses du monde entier luttent contre ce système caduc et décadent.

La forme organisée et combative qui est l’expression maximale de cela est la guerre populaire au Pérou dirigée par le Comité Central du Parti Communiste du Pérou. Le gendarme hégémonique, la superpuissance yankee, et les puissances impérialistes en collusion et en conflit, préparent une nouvelle guerre mondiale et une nouvelle répartition du monde, rêvant de rompre avec la crise et de traiter à la réorganisation de l’impérialisme suivant les intérêts de la puissance ou des puissances victorieuses.

Cela tandis que, dans le même temps, les puissances impérialistes appliquent leur politique génocidaire, afin d’essayer d’arrêter la révolution par tous les moyens.

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C’est principalement par l’influence de la Guerre Populaire au Pérou que le maoïsme a été assumé par des millions de prolétaires et d’opprimés dans le monde, et qu’au Népal a été commencée la guerre populaire suivant les pas du PCP, une guerre populaire qui a ensuite été trahie par les dirigeants révisionnistes du Népal dirigés par Prachanda.

Le fait est que, avec la détention du Président Gonzalo, le MRI est entré dans des problèmes idéologiques et a été pris par le nouveau révisionnisme, se convertissant en un appareil bureaucratique qui se dévoue seulement à saluer les luttes armées.

Ils se revendiquent du maoïsme, mais dans les faits ils attaquent le maoïsme, le Président Gonzalo et la pensée Gonzalo, lui attribuant l’autorité des « cartes de paix ». Ils attaquent le Président Gonzalo, car il est celui qui a défini le maoïsme comme nouvelle, troisième et supérieure étape de l’idéologie communiste ; qui de son côté a a également défini l’étape historique actuelle, celle où l’impérialisme est balayé de la surface de la Terre.

Pour l’attaquer, ces criminels ont été amené, concrètement, à être des collaborateurs efficaces de l’impérialisme pour isoler la guerre populaire au Pérou, plan qui s’applique encore aujourd’hui.

Le nouveau révisionnisme, avec à sa tête Avakian et Prachanda, est principalement dirigé par l’impérialisme yankee, avec l’objectif de se maintenir comme gendarme unique, et pour cela applique et défend le « plan impérialiste des accords de paix », pour arracher son prestige au maoïsme, pour diffuser son révisionnisme sous les étiquettes de « il n’y a pas les conditions » ou « l’impérialisme est fort » ; que le capitalisme est une avancée dans les pays coloniaux et semi-coloniaux, une étape intermédiaire qui prépare les conditions de la révolution prolétaire.

De vieux discours qui visent juste à mettre les masses sous une direction non prolétarienne : celle de l’impérialisme et d’une faction de la grande bourgeoisie.

Paraphrasant le grand Lénine (L’Etat et la révolution), nous pouvons ouvertement affirmer que la tergiversation et le silence sur la question de l’actualité de la révolution prolétaire, de la guerre populaire, de ce que signifie le PCP comme avant-garde de la révolution mondiale, ne peut que jouer un énorme rôle de trahison à la classe, précisément dans un moment où les Etats, avec leur appareil militaire renforcé comme conséquence de la rivalité impérialiste, se convertissent en monstres guerriers, qui dévorent des millions d’hommes afin de régler le différent de qui va dominer le monde.

Il est clair, il est certain que la perspective pour les communistes et les révolutionnaires est magnifique.

L’aiguisement du conflit entre les puissances impérialistes ouvre les flancs pour la révolution. Alors que l’impérialisme yankee œuvre désespérément pour se maintenir comme gendarme hégémonique, la Chine et la Russie dans leur différend pour le contrôle du monde n’ont pas d’autres choix que de développer le fascisme et le génocide.

Ainsi le conte du monde multipolaire est destiné uniquement à servir les intérêts d’un impérialisme plus fasciste et plus génocidaire tel l’impérialisme chinois, avec ses zones économiques spéciales, ou lorsque l’État dit combien avoir d’enfants. C’est l’impérialisme dans sa phase la plus génocidaire et parasitaire.

Le nouveau révisionnisme travaille pour contenir tout déclenchement de guerre populaire, ou pour la dévier de la conquête du pouvoir au moyen des « accords de paix ». Avec le conte de la « forteresse de l’impérialisme yankee » et de la « multipolarité », en réalité son objectif est d’imposer un impérialisme plus génocidaire et plus fasciste comme l’impérialisme chinois, qui a conduit l’exploitation du prolétariat et de la paysannerie à son expression maximale.

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L’impérialisme a besoin pour se maintenir que les peuples soient soumis au révisionnisme pour continuer à aller de l’avant dans leurs guerres de rapine et pour contenir la révolution.

C’est le rôle du nouveau révisionnisme que de bloquer, que de contenir la diffusion du maoïsme, de la reconstitution de partis communistes maoïstes militarisés pour déclencher la guerre populaire.

Pourquoi maintenant d’anciens éléments s’auto-dénomment maoïstes et ne le sont pas ? Pourquoi disent-ils qu’ils assument le maoïsme ? Pour piéger et diviser, pour servir l’impérialisme et la réaction et pour que le maoïsme ne dirige pas la nouvelle vague de la révolution prolétarienne mondiale.

En raison de cela, le révisionnisme est le danger principal pour la révolution, parce qu’il est l’ennemi qui attaque depuis nos rangs, créant la confusion, entravant toute lutte de deux lignes, utilisant l’attaque personnelle, les ragots et les rumeurs, la cible principale de ces misérables étant la guerre populaire au Pérou dirigé par le CC du PCP.

Au Pérou, la LOD [Ligne Opportuniste de Droite] et la LOG [Ligne Opportuniste de Gauche], au service de l’impérialisme, principalement yankee, joint à l’impérialisme et la réaction, ont essayé d’annihiler la guerre du peuple et son état-major, le CC du PCP, cela sans succès.

Le PCP maintient le cap, fidèle aux principes, en élargissant le travail de masse, en appliquant de manière créative la pensée Gonzalo aux conditions nouvelles et en ouvrant la voie au prolétariat international et aux peuples du monde en développant davantage la guerre populaire. Il combat les ennemis extérieurs, l’impérialisme et de la réaction, et ceux intérieurs, le nouveau révisionnisme.

Vive la victorieuse et invincible guerre populaire !

Vive le Président Gonzalo et sa toute-puissante pensée !

Vive le Parti Communiste du Pérou !

Honneur et gloire au prolétariat et au peuple péruvien !

A bas l’impérialisme, la réaction et le révisionnisme !

Movimiento Popular Perú
17 mai 2014


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