J’ai annoncé dans les Annales franco-allemandes la critique de la science du droit et de la science politique sous la forme d’une critique de la Philosophie du Droit de Hegel. Tandis que j’élaborais le manuscrit pour l’impression, il apparut qu’il était tout à fait inopportun de mêler la critique qui n’avait pour objet que la philosophie spéculative à celle des diverses matières elles-mêmes, et que ce mélange entravait l’exposé et en gênait l’intelligence.