par Tsi Pen-yu

Le 16 avril dernier, le Beijing Ribao (Quotidien de Pékin) n’a pas consacré moins de trois pages à la publication, sous une grande manchette, d’un long article documentaire « critiquant » le « Village des Trois » et les « Propos du soir à Yenchan ».

De la position bourgeoise du « Qianxian » et du « Beijing Ribao »

Cet article est précédé d’une note des rédactions de la revue Qianxian (Front) et du Beijing Ribao qui tous deux relèvent du Comité municipal de Pékin du Parti communiste chinois. Quant au journal Beijing Wanbao (Pékin-­Soir) du même jour, il a consacré plus de trois pages à des extraits du même article. Rarement, depuis leur naissance, on avait vu ces journaux donner un tel retentissement à une affaire.

Le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao ont publié naguère toute une floraison vénéneuse d’articles antiparti et antisocialistes ; qu’ils se livrent maintenant à une critique consciencieuse de tous ces articles et qu’ils soumettent leurs erreurs à une sérieuse autocritique, c’est là une nécessité en même temps qu’une obligation.

Mais la façon d’agir du Qianxian et du Beijing Ribao signifie-t-elle qu’ils sont engagés dans cette voie ?

Non, absolument pas.

Wou Han, l’avez­-vous critiqué ?

Non.

Entre l’année 1959 au cours de laquelle Wou Han exploita le thème de Hai Jouei pour lancer une furieuse attaque contre le Parti et le socialisme, et la publication le 10 novembre 1965, de l’article du camarade Yao Wen­yuan intitulé « A propos de la nouvelle pièce historique ‘La Destitution de Hai Jouei’ », il s’est écoulé plus de six ans.

Or, pendant toute cette période, le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao n’ont pas eu un seul mot pour dénoncer Wou Han.

Le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao s’employaient au contraire à publier des articles à la louange de Wou Han et de ce « Hai Jouei » qu’il avait créé pour combattre le Parti et le socialisme.

Parmi tous les articles qui ont encensé « La destitution de Hai Jouei », ces « merveilles de finesse » dues à la plume des « chers vieux frères » sont les plus ignobles et les plus odieuses.

Avez­-vous changé d’attitude après que le camarade Yao Wen­ yuan eut soulevé la question de Wou Han ?

Pas davantage.

Cet important article militant, pendant près de trois semaines, vous ne l’avez ni reproduit ni même mentionné ; en revanche vous avez apostrophé les camarades de Changhaï : « Qu’y a-­t­-il derrière votre décision de publier l’article de Yao Wen­yuan ? Pourquoi ne nous avez­-vous pas prévenus ? Et votre esprit de parti ? »

Ce qu’il y a là derrière ?

Il y a la lutte des classes entre le prolétariat et la bourgeoisie, il y a cette théorie des classes et des contradictions de classes dans la société socialiste, que le camarade Mao Zedong n’a cessé de nous enseigner, et il y a cette décision de déployer à l’échelle nationale la lutte des classes pour l’épanouissement de l’idéologie prolétarienne et l’élimination de l’idéologie bourgeoise, décision qui figure dans le communiqué de la dixième session plénière du Comité central issu du VIIIème Congrès du Parti et que vos journaux ont publiée.

Mener la lutte des classes, est­-ce que cela a besoin de votre autorisation préalable ?

Ne pas avoir cette autorisation, est­-ce que cela signifie manquer de tout esprit de parti ?

Il est clair comme le jour que l’esprit de parti que vous exigez n’est pas celui d’un parti prolétarien, mais celui d’un parti bourgeois.

Sous la pression des masses populaires, le Beijing Ribao s’est vu contraint de publier, le 29 novembre 1965, l’article du camarade Yao Wen­yuan.

Est-­ce à dire qu’à ce moment­-là votre attitude a changé ? Pas davantage. Le Jiefangjun Bao (Journal de l’Armée de Libération) a publié, lui, une « note de la rédaction » claire et nette dans laquelle il montre à juste titre que « La destitution de Haï Jouei » n’est qu’une grande herbe vénéneuse.

En revanche, dans sa « note de la rédaction », le Beijing Ribao ne prend nullement position sur « La destitution de Haï Jouei », il se borne à dire qu’il s’agit d’une « pièce qui a exercé une assez grande influence », que, ces dernières années, « les opinions ont été partagées », et que, « si les opinions sont partagées, il faut ouvrir une discussion ».

En fait, vous êtes pour Wou Han et contre l’article du camarade Yao Wen­yuan. Le Qianxian et le Beijing Wanbao ont tous deux refusé de reproduire cet article ; et si vous, le Beijing Ribao, l’avez fait, c’est pour cacher sous des dehors d’impartialité la partialité profonde de votre attitude.

Soudain, le 12 décembre 1965, on vit le Qianxian et le Beijing Ribao donner la vedette à un article signé Hsiang Yang­cheng et intitulé « De La destitution de Hai Jouei au problème de l’héritage des vieilles valeurs morales ».

On eût dit que vous aviez corrigé vos erreurs et que vous étiez venus prendre place sur le front de la révolution culturelle socialiste.

Qu’en était­-il donc ?

En fait, il s’agissait d’un article prenant le contre­pied de cette révolution culturelle. Pour protéger Wou Han, on y recourait à la tactique de « Critiquer sur l’accessoire pour aider sur l’essentiel ».

La pensée profonde en était de faire passer l’ « idée directrice » de « La destitution de Hai Jouei » pour un problème de l’« héritage des vieilles valeurs morales ».

Ainsi, dans l’article de Hsiang Yang­cheng, un important problème politique de caractère antiparti et antisocialiste devenait un problème « purement académique ».

En outre, l’auteur de l’article invoquait le slogan bourgeois « Tous égaux devant la vérité » pour prendre la défense de Wou Han.

Mais la vérité, voyez-­vous, c’est que vous vous êtes toujours tenus sur une position bourgeoise pour couvrir les représentants de la bourgeoisie du genre Wou Han, et brimer les révolutionnaires prolétariens.

Vous avez toujours donné le feu vert à tout ce qui était réactionnaire, et permis que poussent à foison les herbes vénéneuses antiparti et antisocialistes ; quant aux articles qui dénonçaient ces herbes vénéneuses, vous avez invariablement fait obstruction à leur publication.

Cette façon d’agir relève en tous points de la «libéralisation » bourgeoise, de la dictature sur le prolétariat. Où est l’égalité dans tout cela ?

A la fin de son article, Hsiang Yang­cheng se donne un air très sérieux pour demander une discussion générale du problème de l’« héritage des vieilles valeurs morales », et cela dans l’intention de donner le ton à la discussion sur La destitution de Hai Jouei, de réduire à un problème « purement académique » le problème politique aigu qui fait l’objet de la critique de La destitution de Hai Jouei.

On a su plus tard que ce Hsiang Yang­cheng n’était autre que Teng Touo qui, en collaboration avec Wou Han, a écrit des articles antiparti.

Ce qui est plus grave encore, c’est qu’à une réunion tenue le 2 décembre 1965 au Beijing Ribao, Teng Touo vint encore proclamer ouvertement : « A ce jour, il n’est nullement prouvé que La destitution de Hai Jouei ait un caractère nuisible », ajoutant que l’article du camarade Yao Wen­yuan comportait également des erreurs au même titre que celui de Wou Han.

Peu de temps après, le 27 décembre 1965, le Beijing Ribao publiait de Wou Han une « Autocritique à propos de La destitution de Hai Jouei », autocritique feinte et attaque bien réelle.

Le Beijing Ribao publia cet article sans y joindre la moindre note de la rédaction, ni la moindre critique, ce qui revenait à soutenir Wou Han dans cette contre­-attaque que, sous forme l’autocritique, il lançait contre les camarades qui l’avaient énoncé.

Ce qui mérite attention, c’est que dans cet article, Han disait d’un air entendu à Hsiang Yang­cheng : vos critiques « m’ont fait comprendre mes erreurs et corriger mon point de vue ». Ayant accompli sa mission qui était de contre-­attaquer, Wou Han publia dans le Qianxian et le Beijing Ribao, et selon le ton défini par Hsiang Yang­cheng, sa prétendue autocritique sur le problème de l’« héritage des vieilles valeurs morales » où il reconnaissait volontiers qu’au « centre » de ses erreurs se situait ce problème dit de l’« héritage des vieilles valeurs morales ». Ainsi, les gestes de l’un répondant parfaitement à la voix de l’autre, nos deux lurons exécutaient un numéro bien rodé de monologue mimé.

Un seul article n’ayant pas suffit à donner le ton, vous en avez encore publié toute une série du même genre, dans un effort continu pour amener sur le terrain « purement académique » ce problème de Wou Han qui est politique, antiparti et antisocialiste.

Li Tong­che (alias Li Ki, directeur du Département de la propagande du Comité du Parti pour la municipalité de Pékin) ne visait à rien d’autre lorsqu’il publia le 8 janvier dans le Beijing Ribao l’article « A propos de la conception de l’histoire du camarade Wou Han ».

Selon lui, l’« idée directrice » de « La destitution de Haï Jouei » procéderait d’une certaine façon d’évaluer les personnages historiques.

Ainsi cette même « Destitution de Haï Jouei » serait tantôt le produit d’une «théorie de l’héritage des vieilles valeurs morales », et tantôt celui d’une certaine façon d’évaluer les personnages historiques, mais on se refuse obstinément à dire que c’est un produit de l’esprit antiparti et antisocialiste.

Sous l’œil vigilant des masses, les intrigues et les supercheries ne mènent à rien.

On eut tôt fait de voir clair dans les tours de passe­passe du Qianxian et du Beijing Ribao consistant à faire mine de dénoncer Wou Han pour en réalité le soutenir, faire mine de le critiquer pour en réalité le couvrir et faire mine de le combattre pour en réalité le protéger.

Bon nombre de journaux et de revues ont publié des articles révélant ce qu’il y avait chez Wou Han d’antiparti et d’antisocialiste.

Depuis le mois d’avril en particulier, de plus en plus nombreux ont été ceux qui se sont fait une juste idée de ces agissements 9criminels, antiparti et antisocialistes de Wou Han ; et son vrai visage d’intellectuel anticommuniste, antipopulaire et antirévolutionnaire est apparu de plus en plus clairement. Le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao, qui soutiennent et couvrent Wou Han. Se trouvent aujourd’hui en très fâcheuse posture.

C’est alors que, non sans réticence, vous avez fini par déclarer que «Wou Han est l’auteur de ces deux grandes herbes vénéneuses que sont Haï Jouei invective l’empereur et « La destitution de Hai Jouei » et que vous avez reproduit un article de Wou Han : « Tchao Kouo et Ma Sou », publié autrefois dans le Qianxian, dans l’espoir que ce geste de pure forme pourrait duper les lecteurs.

Voilà pour votre « critique » de Wou Han. Mais on ne peut s’empêcher de demander pourquoi vous présentez comme de graves secrets des choses connues de tout le monde, alors que vous vous gardez de souffler mot de toutes les activités criminelles de Wou Han, ce pieux héritier de la défroque de Hou Che, ce valet qui s’est mis délibérément au service des Etats­-Unis et ce maître stratège des réactionnaires du Kuomintang.

Liao Mo­cha, l’avez-vous critiqué ?

Non.

Liao Mo­cha, ancien directeur du Département du travail du front uni du Comité du Parti pour la municipalité de Pékin, c’est l’homme qui, jadis, a lancé une attaque fielleuse contre Lou Sin, contre le principal artisan de la révolution culturelle, lui «décochant sous un nom d’emprunt une flèche traîtresse »(1).

Et le voilà aujourd’hui qui, usant du même procédé, décoche ses flèches traîtresses contre le Parti et le peuple. Qu’on nous permette de demander au Qianxian, au Beijing Ribao et au Beijing Wanbao : quand avez-­vous critiqué ce genre d’individus ?

Des herbes vénéneuses, pourries, ont été présentées par Liao Mo­cha, comme de belles fleurs toutes fraîches : « La destitution de Hai Jouei » antiparti et antisocialiste, en voilà une œuvre « qu’on nous en produise une autre » ; « Li Houei­niang », opéra antiparti et antisocialiste montre que « la mise en scène de fantômes n’est pas nuisible », et qu’il est susceptible d’exalter la volonté de combat ».

Ces ouvrages qui ont tant fait pour que le vent souffle en tempête et que la pluie tombe à flots, enflant démesurément le contre­courant de l’opportunisme de droite, c’est-­à­-dire du révisionnisme, ces ouvrages qui ont distillé tant de poison dans la société, quand les avez­-vous critiqués ?

Vous saviez pertinemment que, si nous avions fait paraître le livre « Ne pas avoir peur des fantômes », c’était pour encourager le peuple chinois dans sa lutte contre l’impérialisme, le révisionnisme et tous les réactionnaires.

Néanmoins, vous avez tenu à prendre le contre­pied en publiant dans le Qianxian les « ‘Plaisanteries’ sur ceux qui ont peur des fantômes » où Liao Mo­cha attaquait perfidement le Parti communiste chinois et le peuple chinois, où il traînait dans la boue notre grand Parti et notre grand peuple, les traitant de « lâches et stupides », de « fanfarons qui débitent de grandes paroles creuses », qui « foncent tête baissée sans souci des conséquences » et qui « prétendent ne pas avoir peur des fantômes, mais en réalité en ont une peur bleue ».

Nous voudrions vous demander : en publiant un tel article, à quoi vouliez-vous en venir ?

Le Parti communiste chinois et le peuple chinois ont-ils jamais eu peur des fantômes ? Les insultes que vous lancez à ce grand Parti et à ce grand peuple ne sont-elles pas en tous points identiques à celles des impérialistes, des révisionnistes et des réactionnaires de tous les pays ?

Le 6 mai 1963, le camarade Liang Pi­houei (pseudonyme de Yu Ming­houang) publia, dans le Wenhui Bao, un article critiquant la thèse de Liao Mo­cha : « la mise en scène de fantômes n’est pas nuisible ». Des critiques ne tardèrent pas à s’élever dans d’autres journaux et revues. A ce moment-­là, vous ne vouliez toujours pas publier des articles critiquant Liao Mo­cha.

Ce n’est qu’au bout du compte, quand vous avez été mis au pied du mur. Que vous avez à contre­cœur publié sous le titre « Ma thèse ‘La mise en scène de fantômes n’est pas nuisible’ est erronée », un simulacre d’autocritique de Liao Mo­cha qui ne visait qu’à l’aider à camoufler ses agissements et à tromper les masses.

Feignant le plus grand sérieux, Liao Mo­cha se collait un tas d’étiquettes insignifiantes : « j’ai, disait-­il, perdu de vue la lutte des classes », « j’ai relâché ma vigilance », « je n’ai pas tracé une nette ligne de démarcation… », « je me suis égaré », et « je me suis fait inconsciemment l’auxiliaire de la bourgeoisie et des forces féodales dans leurs furieuses attaques contre le Parti et le socialisme ».

Comment les masses auraient-elles pu être dupées d’un tel simulacre d’autocritique ! Il fut sévèrement critiqué par les lecteurs.

Mais, ni le Qianxian, ni le Beijing Ribao, ni le Beijing Wanbao ne prêtèrent la moindre attention à ces justes critiques.

Pourquoi ?

Parce qu’en ce qui vous concernait, l’important était de bien protéger Liao Mo­cha, de vous accrocher à tout prix à votre position antiparti et antisocialiste.

Dans la note de leurs rédactions publiée le 16 avril dernier, le Qianxian et le Beijing Ribao pouvaient sembler avoir changé de musique.

Ils disaient : « II (Liao Mo­cha) a fait bien plus qu »aider inconsciemment la bourgeoisie et les forces féodales dans leurs furieuses attaques contre le Parti et le socialisme’ ; il est le général qui, consciemment, dirige la bataille contre le Parti, le socialisme et la pensée de Mao Zedong ».

Mais cela reste une pure et simple étiquette. Qu’on nous permette de demander : Qui est­-ce, après tout, ce Liao Mo­cha ? Ses paroles et ses actes réactionnaires révèlent à l’évidence que c’est un représentant de la bourgeoisie infiltré dans le Parti et qui se démène en faveur des « fantômes », des impérialistes, des révisionnistes et des réactionnaires de tous les pays, en faveur des propriétaires fonciers, des paysans riches, des contre­ révolutionnaires, des mauvais éléments et des éléments de 14droite.

C’est un représentant de la bourgeoisie qui, de concert avec les «’fantômes » de l’intérieur et de l’extérieur, a mis sur pied un front uni anticommuniste, antipopulaire et antirévolutionnaire. Vous en savez autrement plus long que nous sur toutes ses menées réactionnaires, alors pourquoi vous refusez-vous donc à faire la moindre révélation à ce sujet ?

Il faut croire que vous êtes toujours sous l’emprise des « fantômes » !

Et Teng Touo, l’avez-­vous critiqué ?

Pas davantage.

Il y a quelques années, les opportunistes de droite, c’est­-à-­dire les révisionnistes, représentants des forces qui œuvrent à la restauration du capitalisme, ont suscité un contre­courant dans le flux impétueux de la révolution socialiste.

Profitant des difficultés temporaires que nous éprouvions, ils ont lancé de furieuses attaques contre le Parti et le socialisme. Et Teng Touo a joué un rôle important dans ces attaques. C’est lui qui a organisé et dirigé le « Village des Trois », cette petite clique antiparti formée de Wou Han, Liao Mo­cha et lui­-même.

Nous savons que c’est lui, Teng Touo, qui, en septembre 1961, a pris l’initiative d’inviter Wou Han et Liao Mo­cha dans un restaurant pour établir cette sinistre auberge antiparti et antisocialiste.

C’est lui qui a fait choix du nom de cette auberge et du pseudonyme collectif de «Wou Nan Sing » ; et c’est encore lui qui décidait quels articles seraient publiés.

L’histoire de la création du « Village des Trois » est celle d’une âpre lutte de classe menée contre le prolétariat, sur les fronts culturel et idéologique, par cette coterie antiparti et antisocialiste formée des représentants de la bourgeoisie que sont Wou Han, Liao Mo­cha et leur chef, Teng Touo.

Qui est-­il, ce Teng Touo ?

Il est d’ores et déjà avéré que c’est un traître qui, pendant la Guerre de résistance antijaponaise, s’est infiltré à nouveau dans le Parti.

En se donnant les apparences d’un militant très actif, il a réussi par des moyens frauduleux à gagner la confiance du Parti et du peuple jusqu’à occuper un poste important au Renmin Ribao (Quotidien du peuple).

Là, il a usé fréquemment de ses prérogatives pour déformer à tout bout de champ le marxisme-léninisme, la pensée de Mao Zedong, et s’employer à promouvoir et à diffuser ses idées révisionnistes bourgeoises.

Pendant l’été 1957, il a joué le rôle d’éminence grise pour la droite bourgeoise, émettant nombre d’opinions d’inspiration droitière, antiparti et antisocialiste.

C’est lui qui a écrit l’article « Renoncer à la ‘politique des médiocres’  » paru sous le pseudonyme Pou Wou­ki dans le Renmin Ribao du 11 mai 1957. Dans cet article, il lançait une perfide attaque contre le Parti, lui demandant de remettre la direction à la droite bourgeoise.

En outre, il soutenait activement les éléments de droite dans leurs attaques à outrance contre le Parti. Lin Hsi­ling, élément d’extrême droite et son amie la plus intime, l’a un jour défini comme le «marxiste non-­orthodoxe » de la Chine.

Autant dire que même la droite bourgeoise avait depuis longtemps reconnu en lui un révisionniste.

La victoire remportée dans la lutte contre la droite fit avorter le rêve de restauration du capitalisme qu’il nourrissait. Il fut démis de son poste au Renmin Ribao par le Comité central du Parti, il fut « destitué » par le peuple. Mais il ne devait pas tarder à se remettre en selle en s’introduisant au sein.du Comité du Parti pour la municipalité de Pékin dont il devenait un des membres du secrétariat.

Teng Touo « s’entend » assez bien à certaines tactiques de lutte. Les vagues déferlantes du mouvement de riposte à la droite qui se développa en 1957 l’ont amené à changer ses méthodes de lutte.

La façon dont les critiques et les luttes des larges masses se sont déchaînées contre les éléments de droite au cours de ce mouvement lui a inspiré un effroi dont il ne s’est jamais remis. Dans les nouvelles conditions de la lutte des classes, il ne s’est plus lancé à visage découvert dans la bataille comme il l’avait fait en 1957 en émettant des opinions de droite ; il a au contraire recouru à des moyens plus sournois et plus rusés pour mener sa lutte contre nous.

En s’appuyant sur la base d’opérations que constituaient le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao, et en recourant aux procédés consistant à se servir du passé pour faire la satire du présent et à « injurier l’acacia en désignant le mûrier », il n’a cessé de décocher au Parti et au socialisme des flèches empoisonnées.

Parmi celles­-ci on retiendra : « Un œuf pour toute fortune », « Histoires de fanfarons », « Deux fables étrangères », « Trois genres de Tchouke Liang (célèbre stratège chinois) », « Les grandes paroles creuses », « Lâchez prise, vous tomberez sur un terrain solide », « Théorie du ménagement de la force de travail », « La manière de se faire des amis et recevoir ses hôtes », « Les cas de Tchen Kiang et Wang Keng »,« Tour la défense de Li San­tsai », « L’homme des Monts Kouenlouen », « Mi l’Ancien et Mi le Jeune de Wanping », « Tcheng Pan­kiao et ‘son style’ », « Peut­-on compter sur la sagesse ? », « Le régime éclairé et le régime despotique », « Les renforts qui viennent trop tard », « Caricatures du temps jadis », « La mort de Lin Pai­chouei », « Le traitement spécifique de l »amnésie’ », etc.

Le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao ont-­ils jamais critiqué toutes ces tactiques consistant à se servir du passé pour faire la satire du présent et d’«injurier l’acacia en désignant le mûrier », toute cette floraison d’articles vénéneux attaquant avec une perfidie extrême le Parti et le socialisme ? Mais non, ils n’en ont rien fait.

L’article « Le traitement spécifique de l’amnésie » mérite une mention particulière pour son caractère excessivement réactionnaire.

Il s’agit d’un trait singulièrement venimeux visant directement le Comité central de notre Parti, objet de toute notre affection. Avec un cynisme incroyable, Teng Touo y attaque notre Parti bien­aimé.

Il veut déverser un torrent d’injures sur notre « tête », et avec un bâton spécial de fabrication étrangère, nous frapper la « tête » jusqu’à produire un état clé « choc », afin que nous laissions ces prétendus « médecins qualifiés », entendez : cette poignée de révisionnistes, prendre les rênes.

Cet essai furieusement contre­révolutionnaire révèle dans toute sa noirceur le fond de l’âme de Teng Touo et de son groupe de révisionnistes antiparti et antisocialistes, qui vouent une haine mortelle au Parti et au peuple.

Ces agissements rageusement antiparti et antisocialistes de Teng Touo ont suscité l’indignation de très nombreux lecteurs, qui, dans leurs lettres au Qïanxian, au Beijing Ribao et au Beijing Wanbao, ont formulé de sévères critiques. Mais vous avez refusé de publier les lettres où s’exprimaient ces critiques, et qui plus est, vous avez cherché par tous les moyens à défendre les criminelles activités antiparti et antisocialistes de Teng Touo.

Vous disiez : « Que cent écoles rivalisent », mais en fait, vous ne permettiez qu’à la seule école bourgeoise de « rivaliser ». Autrement dit, vous seuls aviez la liberté de combattre le Parti et le socialisme et de distiller le poison capitaliste, mais vous interdisiez aux masses d’ouvriers, paysans et soldats et aux cadres révolutionnaires de défendre le Parti et le socialisme et d’extirper vos herbes vénéneuses.

Ce que vous pratiquiez, c’était, sans restriction aucune, le despotisme bourgeois et la dictature bourgeoise.

Le mois de novembre 1965 vit se produire un brusque changement sur le front de la révolution culturelle socialiste. Une nouvelle contre-attaque se dessina ; et Wou Han, collaborateur de Teng Touo, fut démasqué.

A ce moment­-là, si vous, le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao, souhaitiez vraiment démasquer Teng Touo, il vous en restait encore un semblant d’initiative.

Mais loin d’en user, vous avez continué à prier Teng Touo de donner des conférences, et d’écrire des articles pour soutenir et couvrir Wou Han.

La lutte des classes est un fait objectif qui ne dépend pas de la volonté subjective de l’homme. Cette lutte n’a cessé de gagner en profondeur.

Et les vrais visages clés Wou Han, Liao Mo­cha et Teng Touo qui se coalisent pour lutter contre le Parti et le socialisme ont été complètement démasqués.

Voyant comment le Qianxian, le Beijing Ribao et le Beijing Wanbao s’y prenaient pour couvrir Teng Touo et étouffer les critiques, la grande masse des lecteurs a éprouvé un mécontentement, une indignation extrêmes : il n’était plus possible d’empêcher que la lumière fût faite.

C’est alors seulement que, pour vous tirer de cette situation de passivité dans laquelle vous ne faisiez qu’essuyer les coups, et surtout pour mieux protéger Teng Touo et compagnie, vous vous êtes décidés précipitamment à poser ce problème de Teng Touo.

Poser le problème de Teng Touo afin de mieux protéger Teng Touo et compagnie, n’est­-ce pas contradictoire ? Eh bien ! Non, ce n’est nullement contradictoire.

Il y a un peu plus de trois mois, pour protéger Wou Han, le Qianxian et le Beijing Ribao ne se sont-­ils pas fait un plaisir de publier l’article de Hsiang Yang­cheng « critiquant » Wou Han ? En posant le problème de Teng Touo, on ne fait que reprendre cette farce de la dénonciation simulée et du soutien réel, de la critique simulée et de la protection réelle, de la lutte simulée et de la défense réelle.

Dans leur « Note des rédactions », le Qianxian et le Beijing Ribao se sont évertués à éluder la question des attaques de Teng Touo contre le Parti et le socialisme.

Teng Touo, le personnage le plus important du « Village des Trois », tient un rôle négligeable dans cette note. Il y est dit que Wou Han a « lancé des attaques contre le Parti et le socialisme », que Liao Mo­cha a été « le général » qui a mené la lutte contre le Parti et le socialisme, mais Teng Touo, lui, n’aurait été ni antiparti, ni antisocialiste.

Inverser l’ordre d’importance, dissimuler le point principal, sacrifier tours et cavaliers pour sauver le roi, voilà les manœuvres auxquelles le Qianxian et le Beijing Ribao se sont livrés pour protéger Teng Touo.

De même, dans son article documentaire « critiquant » Teng Touo, le Beijing Ribao ne fait pas mention des attaques de celui-ci contre le Parti et le socialisme.

Quant aux extraits des Propos du soir à Yenchan qui occupent deux pages entières, s’ils mentionnent que Teng Touo « s’est servi du passé pour faire la satire du présent », c’est seulement à la fin et sous deux intertitres qui n’attirent guère l’attention.

Aux thèses réactionnaires de Teng Touo qui constituent des attaques malveillantes contre le Parti, la ligne générale, le grand bond en avant et la commune populaire, et de même aux articles dans lesquels il se répandait en plaintes arrières contre la destitution et dégradation des opportunistes de droite, autrement dit des révisionnistes, et contre sa propre destitution et dégradation, à tout cela, le Qianxian et le Beijing Ribao n’ont cru devoir appliquer que les qualificatifs superficiels de « vulgaire et dénué de sens », « n’ayant d’admiration que pour soi », ou tout au plus, « enjolivant le système de la société féodale » et propageant l’idéologie bourgeoise.

Le 19 avril, le Beijing Ribao a en outre distribué une «liste de suggestions pour servir à la critique des « Propos du soir à Yenchan ».

Il y soutient que « Teng Touo est en matière d’art un partisan du retour aux anciens », qu’« il se place sur le piédestal des anciens » et qu’ «il propage l’idée que plus l’art est ancien, meilleur il est ». Il continue ainsi à couvrir Teng Touo en tâchant d’amener les lecteurs à diriger le fer de lance de leurs critiques contre « son culte et son imitation des anciens ».

Quant au problème crucial, à ce problème politique de caractère antiparti et antisocialiste qu’est la préparation de 24l’opinion publique en vue de la restauration du capitalisme, il n’en est plus question.

Peut-­on appeler cela une « critique » ? Ne serait-­il pas plus conforme à la réalité de dire : c’est dissimuler les erreurs, couvrir les méchants et leurrer les lecteurs ?

Dans leur « Note des rédactions », le Qianxian et le Beijing Ribao soulignaient :

« De cette lutte nous avons tiré de très profondes leçons. Nous avions relâché notre lutte de classe sur les fronts culturel et académique, ce qui permit à des représentants de la bourgeoisie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Parti, de profiter de nos défaillances pour s’opposer au Parti et au socialisme par le truchement d’essais et d’articles académiques et de faire usage des colonnes de notre journal et de notre revue pour ouvrir un ‘marché libre’…

Notre journal et notre revue commirent l’erreur de publier ces articles sans les soumettre en temps utile à la critique. La raison en est que nous n’avions pas placé la politique prolétarienne au poste de commandement et que nous étions influencés par l’idéologie bourgeoise et féodale.

C’est ainsi que nous nous étions écartés de notre position et avions relâché notre vigilance dans le sévère combat qui se menait. »

Peut-­on appeler cela une autocritique ?

Vous avez « tiré de très profondes leçons ». Mais lesquelles ?

« Nous avions relâché notre lutte de classe sur les fronts culturel et académique ».

Relâcher est­-il bien le mot ?

«…ce qui permit à des représentants de la bourgeoisie, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du Parti, de profiter de nos défaillances pour s’opposer au Parti et au socialisme par le truchement d’essais et d’articles académiques ».

S’agit­-il bien d’autres gens qui auraient profité de vos défaillances ? Est­-il vrai de dire que vous auriez été utilisés par d’autres ?

La raison en est que nous n’avions pas placé la politique prolétarienne au poste de commandement ».

Si ce n’était pas la politique prolétarienne qui était au poste de commandement, alors à quelle classe appartient la politique que vous avez placée au poste de commandement ?

« Nous étions influencés par l’idéologie bourgeoise et féodale ».

Ne s’agit-il vraiment que d’être légèrement influencés par l’idéologie bourgeoise et féodale ?

« C’est ainsi que nous nous étions écartés de notre position et avions relâché notre vigilance ».

Est-ce bien de cela qu’il s’agit ?

Absolument pas.

Pendant une fort longue période s’étendant sur ces dernières années, le Qianxian, le Beijing Ribao et aussi le Beijing Wan­bao ont eux-mêmes été des instruments aux mains clé Teng Touo, Wou Han, Liao Mo­cha et d’autres dans leurs furieuses attaques contre le Parti et le socialisme ; il ne s’agit donc nullement d’ « être utilisé » inconsciemment.

Votre bastion n’est pas un bastion du prolétariat, mais un bastion de la bourgeoisie.

Pendant une fort longue période, Teng Touo, Wou Han, Liao Mo­cha et d’autres ont trôné en toute quiétude dans les bureaux du Comité municipal du Parti et du Conseil municipal populaire de Pékin où ils jouaient aux grands seigneurs, donnaient des ordres et appliquaient fidèlement la ligne révisionniste dans l’espoir de réaliser leur rêve de restauration capitaliste par l’« évolution pacifique ».

Il ne saurait donc être question de « représentants de la bourgeoisie profitant de nos défaillances ».

Ce que vous faites, c’est agiter le «drapeau rouge » pour vous opposer au drapeau rouge ; c’est vous parer du marxisme­ léninisme, de la pensée de Mao Zedong pour combattre le marxisme-léninisme, la pensée de Mao Zegong ; c’est crier les mots d’ordre de dictature du prolétariat et de socialisme pour dénigrer la dictature du prolétariat et le système socialiste. Vous exhibez l’enseigne du Parti communiste et vous usurpez le nom des organes de presse du Parti pour combattre le Parti et le socialisme.

Au moment où notre pays est le théâtre d’une lutte sévère entre les deux voies du socialisme et du capitalisme, loin de relâcher comme vous dites votre lutte de classe, vous vous tenez invariablement sur les positions de la bourgeoisie et menez avec un surcroît d’intensité une lutte de classe aiguë contre le prolétariat.

La politique que vous avez placée au poste de commandement, ce n’est pas celle du prolétariat, mais celle de la bourgeoisie. Que dire ! Votre idéologie bourgeoise et réactionnaire est tout ce qu’il y a de plus enraciné, votre position bourgeoise et réactionnaire tout ce qu’il y a de plus ferme, votre flair bourgeois et réactionnaire tout ce qu’il y a de plus aiguisé, et votre esprit de parti bourgeois tout ce qu’il y a de plus poussé. Hier encore, vous brandissiez la hache contre les articles critiquant Teng Touo, les amputant de tous leurs points capitaux sous prétexte que « ceci n’a rien à voir », « cela ne tient pas debout », « quoi que les autres fassent, nous nous en tiendrons à la discussion académique ».

A quoi donc attribuer tout cela ? À un simple soupçon d’influence des idées bourgeoises et féodales ? Ou à ce que vous vous étiez écartés de votre position ou aviez relâché votre vigilance ?

Allons ! Le mensonge est et demeure mensonge, et il est temps de lever le masque.

Il n’est pas de fard qui puisse cacher la laideur du visage. Vous avez, dans le passé, distillé tant de poison, vous avez été à l’origine de tant d’émanations néfastes, et vous vous êtes livrés à tant de manœuvres perfides pour contrecarrer la révolution culturelle, comment pourriez-vous maintenant en être quittes devant les lecteurs avec quelques paroles creuses ?

Qianxian, Beijing Ribao, Beijing Wanbao, l’heure de la révolution radicale a sonné pour vous.

Quand les ennemis de classe de l’intérieur et de l’extérieur ont fait se lever un grand vent funeste, qui donc a soutenu activement Teng Touo, Wou Han et Liao Mo­cha dans leurs activités antiparti et antisocialistes ?

Et quand ces activités eurent essuyé la contre-attaque des masses révolutionnaires, qui donc a cherché par tous les moyens à couvrir ces mêmes Teng Touo, Wou Han et Liao Mo­cha ?

Et plus tard, lorsqu’il est devenu impossible de les masquer, qui encore vous a soufflé de jouer la farce de la fausse critique, la farce consistant à « sacrifier tours et cavaliers pour sauver le roi » ?

Toutes ces questions, vous ne pourrez ni les tenir secrètes ni les éluder. Dissimuler ne vous mènera pas loin, car les masses ont de boris yeux.

Si vous ne tirez pas les choses au clair, les masses s’en chargeront ; si la critique ne vient pas de vous, elle viendra des masses.

Nous sommes persuadés que parmi les rédacteurs du Qianxian, du Beijing Ribao et du Beijing Wanbao, tous les camarades qui veulent la révolution sauront prendre courageusement position, ils lèveront bien haut le drapeau rouge de la pensée de Mao Zedong, ils rompront complètement avec les représentants de la bourgeoisie, et ils dénonceront et critiqueront hardiment vos criminels agissements antiparti et antisocialistes. Cette affaire antiparti des Teng Touo, Wou Han, Liao Mo­cha et autres, affaire organisée, planifiée et dirigée, doit nous inciter à une haute vigilance.

Groupe après groupe, bien des représentants de la bourgeoisie ont été balayés de la scène politique par les puissantes forces révolutionnaires socialistes ; mais cela ne signifie nullement que dorénavant tout ira pour le mieux.

Nous devons nous attendre à voir de nouveaux représentants de la bourgeoisie faire leur apparition sur la scène.

La différence résidera dans les formes souvent modifiées de leurs numéros : certains se produiront à visage découvert, d’autres se camoufleront quelque peu ; parfois ils opéreront en ordre dispersé, et parfois ils concentreront leurs attaques. Nous devons sans hésitation prendre une part active au mouvement qui se développe actuellement, engager une lutte résolue contre les représentants bourgeois de tout acabit et mener jusqu’au bout la révolution socialiste sur le front culturel.

Armé de la pensée de Mao Zedong, le peuple chinois est invincible.

Il n’est pas de génies malfaisants, déjà apparus ou encore cachés, occupant le devant de la scène ou retranchés dans les coulisses, qui puissent résister à un seul coup de cette force géante.

Le soleil se couche pour le régime capitaliste qui n’a plus qu’un souffle de vie et dont le triste sort est d’être balayé comme les feuilles mortes par le vent d’automne.

Comment quelques minuscules fourmis pourraient-elles ébranler le grand arbre du socialisme qui dresse ses branches jusqu’au ciel !

  1. Liao Mo­cha publia, en 1934, sous le pseudonyme de Ling Mo, un article intitulé « Sur la littérature à encadrement » dans le Dawan Bao (Grand Journal du Soir). Dans cet article il accusait les essais révolutionnaires de Lou Sin d’être de la « littérature à encadrement ». Celui­-ci lui riposta en se servant de la même expression et donna à l’un de ses recueils d’essais le nom de « Littérature à encadrement ». Voir Œuvres complètes de Lou Sin, Éditions littéraires du peuple, 1957, édition chinoise, tome 5, pp. 341, 397, 400.

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