Tranchant sur le flot d’articles lénifiants et insignifiants de son hebdomadaire, PTB a publié un dossier particulièrement nauséabond intitulé « Quand l’OTAN organisait le terrorisme en Europe »1. Cet article est en fait une nouvelle attaque contre l’expérience des CCC dont le logo se retrouve sur le montage de couverture à côté des photos des massacres des tueurs du Brabant…
Il est utile de rappeler que, tant qu’il a pu (c’est-à-dire jusqu’aux arrestations des membres des CCC et à leur conduite exemplaire face à la répression), PTB a nié que les CCC étaient formés de révolutionnaires. Inaugurant ses procédés d’insinuation, il a par exemple essayé de faire croire que Pierre Carette (la seule personne connue/recherchée à l’époque) était suspect parce que son père travaillait à la police des étrangers et parce que son frère était d’extrême-droite. Alors que le père de Carette, effectivement fonctionnaire à la police des étranger, était un démocrate antifasciste notoire, et que Pierre Carette et son frère ne s’adressaient plus la parole depuis leur adolescence précisément à cause de leur désaccord politique radical.
Mais que lui importait ces faits et l’honneur des révolutionnaires : pendant des mois, PTB a instillé le fait que les actions des CCC étaient menées par des commandos fascistes roulant pour l’OTAN (ou directement par des commandos US).
Quand les arrestations sont survenues, PTB a dû changer de chanson. L’histoire et le positionnement des prisonniers des CCC, la manière dont ils ont défendu leur projet, et jusque dans la manière dont ils en ont fait l’auto-critique, montraient l’ineptie des fielleuse insinuations de PTB.
PTB s’est alors rabattu sur sa nouvelle version : les CCC étaient des révolutionnaires «manipulés ».
Et pour cela encore, sans autre éléments que sa volonté de dénigrer un projet révolutionnaire qui le gène, PTB réécrit l’histoire. Ainsi, dans son dernier article, affirme que seuls ont été arrêtés « les soldats » des CCC. PTB invente donc pour les besoins de sa triste cause, des CCC composées de « soldats » et de « généraux ». Après que les faits aient fait voler en éclat leurs tentatives de faire passer les militants des CCC pour des comploteurs fascistes, PTB sort son plan B et essaie d’en faire des instruments de comploteurs fascistes.
Quand ce nouveau mensonge trouvera le sort du premier, faisons confiance à l’imagination putride et malveillante qui, à Solidaire, fait office de ligne rédactionnelle.
En attendant, mettons en évidence, ce nouvel article à l’appui, quelques éléments remarquables dans le positionnement de PTB.
PTB n’a rien pour étayer sa thèse, que de vagues amalgames. PTB essaie de rapprocher l’affaire des CCC des « bombistes » luxembourgeois. Pourtant, ces bombistes ne sont pas des révolutionnaires, ils n’ont jamais prétendu l’être, et aucun élément ne les lie aux CCC. Pourquoi PTB rapproche les CCC de ces bombistes et ne rapproche pas les CCC de la RAF et d’Action directe, alors que les liens entre ces groupes sont évidents, prouvés, connus et reconnus ?
Parce que cela n’arrange pas le scénario de PTB, qui n’a que pour base des rapprochements hasardeux et des mensonges éhontés.
PTB écrit l’air de pas y toucher : « Gladio a participé à des attentats qui ont ensuite été attribués au Brigades Rouges » De là à dire que les attentats des Brigades Rouges servaient les commanditaires des Gladio…
Or, non seulement les fascistes liés à Gladio ont commis des attentats massacres qui n’avaient rien à voir avec les Brigades Rouges, mais ces attentats n’ont jamais été attribué aux Brigades Rouges (les fascistes et leur complice dans la police ont orienté l’enquête vers un bouc émissaire anarchiste).
Les attentats-massacres de la stratégie de la tension en Italie (piazza fontana, gare de Bologne) étaient aussi différents de ceux des BR que les tueries du Brabant étaient différentes des CCC. L’attribution de ces attentats aux BR est une pure et détestable invention de PTB, nécessaire à PTB pour salir les révolutionnaires de la boue des fascistes.
L’acharnement que met PTB depuis trente ans à nier cette simple vérité, que les CCC était un petit groupe de révolutionnaire qui s’était donné les moyen de mener une action armée, en dit long sur la nature de PTB, et en dit long l’impact des CCC.
Il y a deux éléments qu’il est souvent utile de distinguer :
– Le fait qu’en tout temps et en tout lieux, les forces de sécurité et les organisations paramilitaires regorgent d’éléments d’extrême-droite et que parmi ceux-ci certains sont été tenté par la stratégie de la tension.
– Le fait que, dans certaines circonstances, les sphères dirigeant de la bourgeoisie impérialiste aient décidé de jouer cette carte risquée de la stratégie de la tension (par exemple lors de la montée en puissance du mouvement révolutionnaire en Italie à la fin des années ’60).
Mais PTB ne veut rien distinguer. Pour PTB, tout est complot remontant jusqu’au sommet de l’OTAN : les CCC, la loge P2, les « bombistes » luxembourgeois, etc. C’était « Quand l’OTAN organisait le terrorisme en Europe »…
Au Centre MLM, nous en savons aussi peu sur les bombistes luxembourgeois que PTB, mais à la différence de PTB, et avant d’affirmer ou de contester qu’ils obéissaient aux ordres, nous posons la question politiquement.
Cette question est : l’OTAN avait-il un intérêt politique à déstabiliser le Luxembourg ?
Le Luxembourg ??!!!
Quel danger révolutionnaire pouvait bien menacer le Luxembourg pour que l’OTAN y pratiquât la stratégie de la tension ??!!!
La faiblesse caractérise la thèse de l’OTAN comme commanditaire des tueries du Brabant, ce que soutien PTB.
Pourquoi l’OTAN aurait-il déstabilisé la Belgique alors que tous les partis politiques y sont atlantistes jusqu’à l’écœurement (ayant par exemple voté l’installation des missiles) et non les Pays-Bas ou le mouvement populaire pacifique était encore plus fort qu’en Belgique et où le parlement avait voté contre l’installation des missiles ?
Qu’un réseau fasciste local ait voulu à son échelle jouer la stratégie de la tension en Belgique, c’est très probable, mais rien ne semble justifier d’y voir un complot remontant jusqu’aux hauts états-majors impérialistes.
Ou plutôt si.
Il y a une bonne raison de dire cela.
La vision simplificatrice qui prétend voir derrière chaque provocation d’un groupuscule fasciste, d’une paire de gendarmes ou de « stay-behind », un plan au plus haut niveau permet d’occulter un fait politique de la plus grande importance : le régime démocratique bourgeois convient aujourd’hui encore parfaitement à la bourgeoisie impérialiste ! C’est une forme économique de domination et d’exploitation ou, au quotidien, les opprimés forgent leurs propres chaînes en croyant décider de leur sort.
En laissant entendre que l’OTAN veut à tout prix la chute de ces régimes démocratique, PTB affirme que ces régimes ne conviennent pas à l’OTAN !
Et cela correspond parfaitement à la politique légaliste et au crétinisme parlementaire de PTB dont l’activité politique n’a d’autre rythme que celui des farces électorales.
En tournant le dos au projet révolutionnaire, en assumant une identité, une ligne et un projet politiques purement et simplement social-démocrate, PTB se retrouve naturellement défenseur de la légitimité de la Chambre des représentants et des parlements régionaux, du Sénat et des conseils communaux.
Cela avait été mis en évidence dans l’analyse point par point du programme de PTB dans le n°10 de Clarté, l’organe de l’ex Bloc ML :
« PTB revendique « plus de participation à la politique nationale et européenne ». Un examen attentif ne nous a pas permis de déterminer exactement quel est le sujet qui devrait « participer davantage à la politique » : il semblerait que ce soit « le peuple et ses représentants élus » (par opposition au gouvernement « non élu »). Ceci définit pour PTB le « processus démocratique ». Attendant sa légitimité de la farce électorale bourgeoise, PTB insiste lourdement (à trois reprises) sur le caractère proportionnel du scrutin, afin évidemment d’accroître sa « représentativité » – en proposant, par ailleurs, la possibilité d’édicter des lois par » referendum » (forme de scrutin qui, pas plus que les élections bourgeoises, ne peut servir la cause du prolétariat). Ici et aujourd’hui, la participation aux élections a pour seule fonction de légitimer les formes actuelles de domination politique de la bourgeoisie : le devoir des communistes est de les dénoncer comme telles. « Plus la démocratie est puissamment développée, plus la Bourse et les banquiers se soumettent les parlements bourgeois » (Lénine) (…)
PTB a renoncé même à se draper dans une fierté révolutionnaire factice : ils sont passés avec armes (virtuelles) et bagages (sacs-poubelle) d’un révisionnisme instable à un réformisme démocrate bourgeois assumé. Comme toute la « gauche » bourgeoise, ils continueront à tenter de détourner les luttes du prolétariat vers des leurres sans jamais réussir à duper le peuple ; ils continueront à proposer des aménagements inefficaces, utopiques ou dérisoires, de la barbarie capitaliste. Nous souhaitons à PTB un beau parcours dans la politique parlementariste ; nous leur souhaitons d’obtenir tous les ministères qu’ils briguent, et sommes profondément soulagés à l’idée qu’ils n’encombreront plus le terrain de la lutte prolétarienne.» 2
En dernier point. Au moment où PTB attaquaient les CCC qui attaquaient l’OTAN, PTB était l’alliée à la Chine social-fasciste d’après Mao Zedong, la Chine de Deng Xiaoping. C’était l’époque où PTB écrivait que « L’URSS est devenu le foyer de guerre le plus dangereux » et que « Nous devons tenir compte de l’éventualité que le chemin vers la révolution socialiste passe par une période de résistance nationale contre une agression soviétique. »3 Empêtré à l’époque dans la « théorie des trois mondes », PTB ne se vante pas aujourd’hui de ses brillantes analyses, qui l’amenaient à demander à ses militants de lutter côte à côte avec les forces de l’OTAN contre l’URSS social-impérialiste. Cet épisode tombe dans l’oubli, alors qu’il explique pour une bonne part l’origine de la haine anti-CCC du PTB, les Cellules Communistes Combattantes analysant quant à elles l’impérialisme US comme le principal danger de guerre.
Que plus du tiers du dossier « Quand l’OTAN organisait le terrorisme en Europe » de PTB soit en fait un dossier anti-CCC montre à quel point l’expérience révolutionnaire des CCC reste indigérable pour la racaille social-traitre de PTB.
Les CCC avaient à l’époque remarqué :
« que de nombreux camarades militants, avant-gardes ouvrières, se sont détournés avec honte et dégoût de leurs organisations soi-disant communistes face à notre combat. Ce mouvement ne pourra aller qu’en s’amplifiant. Mais, aujourd’hui, pour beaucoup d’autres camarades sincères, la prise de conscience de cette réalité est fort amère à accepter. Quand on a placé, des années durant, sa confiance et son militantisme dans une organisation, quand se sont créés des liens d’amitié et de solidarité dans les luttes syndicales et les épreuves, il est parfois difficile de remettre tout cela en cause, tant la crise fait mal, tant la désillusion et l’écœurement sont profonds. Les directions des partis révisionnistes et réformistes estiment très bien cette déchirure et tentent de l’exploiter comme des petits épiciers. C’est pour cette raison qu’elles se sont toutes, sans exception, lancées à corps perdu dans la plus veule des calomnies sur notre compte, dans le but d’éviter le débat politique, de nous exclure de la réalité contemporaine du combat de classe ici, de casser toute potentialité de développement d’un processus révolutionnaire dans ce pays. »4
Rien n’a changé. Pas une fois en 30 ans, PTB n’a voulu discuter du projet stratégique développé par les CCC. Elle n’a pas voulu en discuter parce qu’il savait que cette discussion mettrait au grand jour son propre renoncement à tous les principes révolutionnaires.
Alors ne restait et ne reste encore qu’une solution : le dénigrement, et pour cela un seul outil : le mensonge.
Et en raison de la faiblesse propre au mensonge : l’obligation de le répéter sans tenir compte de rien…
Ainsi l’exemple de la saisie d’armes à la caserne de Vielsalm. Les anciens membres des CCC parlent d’une attaque menée par des révolutionnaires. Où a-t-on retrouvé des armes de Vielsalm ? Chez des révolutionnaires et uniquement chez des révolutionnaires : Cellules Communistes combattantes, Action Directe et Fraction Armée Rouge. Rien de tout cela ne compte pour PTB qui se rapportera qu’au scénario de « l’opération Oesling » sur base du témoignage fait à l’époque par un certain Dislaire. Qu’en est-il aujourd’hui ? Dans La Meuse on demandait au même Dislaire à propos de Vielsalm :
– En 1985, vous évoquiez une « bavure » dans le cadre de l’opération « Oesling ». En êtes-vous toujours convaincu ?
– Non, plus du tout. A présent, j’écarte la piste militaire. Je ne peux rien affirmer avec certitude mais je privilégie, sur base des éléments que j’ai recueillis, les pistes du banditisme ou des Cellules Communistes combattantes (CCC) liées au groupe « Action Directe » 5.
Le propos pour nous n’est pas de prendre Dislaire comme arbitre de la vérité. Il est de montrer sur quoi se base PTB pour analyser la réalité des CCC ou les intentions de l’OTAN…
Et tout est à l’avenant :
« Lors de la plupart des attentats des CCC, c’est de la dynamite qui a été utilisée. Et c’est également de la dynamite qui a été dérobée, en juin 1984, dans une carrière près d’Ecaussines. La dynamite se trouvait dans un bunker doté d’une muraille de béton de trois mètres de haut et surmonté de barbelés. Au milieu du bunker se trouvait le dépôt d’explosifs, protégés par du béton et un blindage en acier de 8 mm d’épaisseur. Pour arriver au dépôt, les voleurs ont du franchir successivement trois porte, deux portes grillagés ainsi qu’une porte blindée en acier. Ils ont utilisé des foreuses, des lampes à souder et des scies électriques. (…) Comme au Luxembourg, la police était d’avis qu’il s’agissait d’un commando professionnel de 3 à 5 personnes. Aucun des membres des CCC arrêtés n’avait la moindre expérience qui lui aurait permis de commettre un tel vol ».
La police n’a jamais parlé de « commando professionnel », c’est une invention de PTB qui lui permet de placer dans son paragraphe « Comme au Luxembourg » et de cultiver ses amalgames. Les premiers rapports de police versés au dossier d’instruction montre que le commando avait raté une première opération (toutes les portes avaient été ouvertes jusqu’à la porte blindée) et que, quelques mois plus tard, la seconde tentative avait été couronnée de succès, quoi qu’elle ait été visiblement laborieuse.
Remarquons que Solidaires offre un bel exemple d’autisme rédactionnel en répétant, les même sottises malgré leurs évidents réfutations. Car la version de PTB sur Ecaussines réapparait régulièrement dans « Solidaire ». On la retrouve à l’identique dans un article d’il y a dix ans, en mars 2003 à l’occasion de la libération d’un ancien membre des CCC qui s’était donné la peine de répondre :
« L’exemple du bunker d’Écaussines est révélateur. Il n’y a que le PTB pour imaginer attaquer la porte qui vous sépare de huit cent kg de dynamite … avec une lampe à souder ! ! ! Tout ce passage de « Solidaire » est remarquable. Pas une ligne sans sottise. Passons la description d’un dépôt digne du Mur de l’atlantique. L’évocation de la hauteur de l’enceinte et de murs en béton peut impressionner, mais c’est sa seule utilité puisque les réquisitionnaires sont passés par la porte. Pardon, «les trois portes » ! La première fermée par un cadenas à vélo, la seconde, en bois, redoutable comme une porte de garde-robes, et enfin la troisième qui constitua la seule vraie difficulté à laquelle s’est heurtée la réquisition : la porte blindée.
Selon « Solidaire », aucun des membres des Cellules arrêtés n’aurait eu, dans sa vie professionnelle, la moindre expérience permettant de commettre une telle effraction. J’ai rencontré quelques perceurs de coffres-forts en prison, et je dois faire savoir à « Solidaire » qu’aucun d’eux n’avaient appris à percer des coffres à l’école, au bureau ou à l’usine … Et puis, qu’est-ce qui permettrait à « Solidaire » de décréter qu’il faille chercher le perceur de la porte parmi les quatre militants des Cellules arrêtés (et parmi eux seuls ? ). L’explosif d’Écaussines a été utilisé par trois organisations : la Fraction Armée Rouge ( notamment contre l’école d’officiers de l’OTAN à Oberammergau ), Action Directe ( notamment contre l’Institut Atlantique ) et les Cellules. Pourquoi rejeter d’office l’idée que la porte ait été percée avec l’aide d’un( e ) militant( e ) de la RAF, ou d’AD, ou par un militant des Cellules qui est passé à travers le blitz policier de décembre 1985 ? Pourquoi ? Parce que cela ne cadrerait pas avec ce que « Solidaire » tente désespérément de prouver depuis vingt ans. Que reste-t-il au bout du compte de cet admirable paragraphe ? La conviction de « Solidaire » que les révolutionnaires sont par nature des manchots incapables d’ouvrir une porte blindée de huit millimètres. Voilà donc un de ces « nombreux faits » censés étayer la thèse de la manipulation … Cette clique de bras-cassés est tellement occupée à lécher les bottes de despotes moyen-orientaux et africains qu’elle n’a pas trouvé deux minutes de temps pour réfléchir à ce qu’est une activité politico-militaire. »6
Voilà en effet la morale de la fable : PTB juge hautement improbable qu’un petit groupe de communistes soit capable de réaliser ce qui est à la portée du dernier des cambrioleurs : ouvrir une porte blindée avec une foreuse…
Cela en dit long, très long sur PTB…
Dès que l’on quitte le domaine de la distribution de tract ou de patates, le déguisement en clown et l’organisation de match de beach-volley, on entre pour PTB dans le domaine strictement réservé aux « special forces » et aux « commandos professionnels » …
Pauvres impuissants qui se vantent de leur impuissance…
Misérables collabos qui crient à la provocation dès qu’un groupe révolutionnaire ou un jeune rebelle pose un acte illégal…
Nous disons au Centre MLM :
– le projet des CCC comportait de nombreux éléments critiquables et sa mise en application n’a pas toujours été à la hauteur de ce projet ;
– mais le projet des CCC reste une expérience très importante pour le mouvement révolutionnaire en Belgique.
Ceux qui se posent réellement la question du renversement révolutionnaire de la dictature bourgeoise doivent se poser la question de la guerre populaire, d’un affrontement commencé dans des rapports de forces défavorables pour le camp révolutionnaire. Ceux-là trouveront dans l’expérience des CCC, tant dans ses réussites que dans ses échecs, beaucoup de leçons à étudier.
Les autres montrent simplement que la question révolutionnaire n’a pas d’intérêt pour eux.
De fait, en Belgique, le positionnement vis-à-vis de l’expérience des CCC est une des discriminantes entre les partisans de la révolution et le marais radical-réformiste, dont PTB reste un des bancs de vase les plus pestilentiel.
Centre Marxiste-Léniniste-Maoïste [B]
10 juillet 2013