L’équipe sanitaire de l’Armée populaire de libération de l’hôpital n°165 et le personnel sanitaire de l’hôpital psychiatrique de la région de Tchentchéou, dans le Hounan, prenant la pensée de Mao Zedong comme guide de leur pratique sanitaire, ont ouvert une voie nouvelle pour la guérison des maladies mentales.
Depuis deux ans, le personnel sanitaire ne cesse d’éduquer les malades à l’aide de la pensée de Mao Zedong, tout en ayant recours aux soins médicaux, selon la méthode qui consiste à combiner la médecine chinoise traditionnelle avec la médecine occidentale ; cette manière de procéder a permis à de nombreux malades mentaux de recouvrer la santé et de retourner sur le front des trois grands mouvements révolutionnaires. Parmi ces malades, il y en a quelques-uns qui passent déjà pour des gens très actifs dans l’étude et l’application créatrice de la pensée de Mao Zedong, et d’autres qui sont devenus ouvriers, employés, ou paysans aux « cinq perfections ».
L’équipe sanitaire de l’hôpital 165 de l’A.P.L. est arrivée à l’hôpital psychiatrique de Tchentchéou en avril 1969, décidée à lutter pour défendre la ligne prolétarienne du président Mao dans le domaine sanitaire.
Dans le passé, sous l’influence néfaste de la ligne révisionniste contre-révolutionnaire dans le domaine sanitaire du renégat, agent de l’ennemi et traître à la classe ouvrière Liou Chao-chi, pour soigner et contrôler les malades mentaux, on se contentait, dans cet hôpital psychiatrique, d’appliquer les théories empruntées aux « esprits » et « sommités » de la bourgeoisie ; pour soigner la maladie mentale, on utilisait depuis longtemps les « trois remèdes magiques », c’est-à-dire l’électrochoc, le choc insulinique et l’emploi massif des calmants qui causaient des troubles graves à nos frères de classe atteints de ces maladies.
Les camarades de l’équipe sanitaire et le personnel sanitaire révolutionnaire de l’hôpital ont dénoncé et critiqué avec indignation les crimes de la ligne révisionniste contre-révolutionnaire mise en avant par Liou Chao-chi, et ont exprimé leur détermination de suivre une voie originale pour libérer de leurs souffrances leurs frères de classe atteints de maladies mentales.
Pour guérir les maladies mentales, il est nécessaire avant tout d’en mettre en lumière la nature.
S’en tenant à renseignement du président Mao : « La connaissance humaine ne peut en aucune manière être coupée de la pratique », ils ont effectué consciencieusement enquêtes et recherches sur la situation des malades, en prenant connaissance de nombreux renseignements de première main. Dans le cours de la pratique, de nombreux faits les ont tous conduits à réfléchir profondément.
Quand l’équipe sanitaire est arrivée à l’hôpital, de nombreux malades, comprenant que leurs « frères » de l’Armée de libération venaient pour les soigner, se sont rassemblés en masse autour d’eux pour crier très fort : « Vive le président Mao ! Vive, vive le président Mao ! »
Une malade agitée déchirait, dans ses moments de crise, les couvertures de l’hôpital, mais non ses propres vêtements. Que prouvaient ces manifestations ? L’équipe sanitaire et le personnel sanitaire révolutionnaire de l’hôpital cherchèrent la réponse à ce problème dans l’œuvre du président Mao.
Selon son enseignement : « Dans la société de classes, chaque homme occupe une position de classe déterminée et il n’existe aucune pensée qui ne porte une empreinte de classe. » Tous ont compris que chaque malade est membre d’une classe, est membre de la formation sociale.
En analysant les actions et les discours des malades mentaux du point de vue de classe et de la lutte des classes, on peut découvrir que, dans la très grande majorité des cas, les manifestations de la maladie correspondent chez les malades à leurs positions de classe et à leur vie sociale.
Les malades qui avaient exprimé à l’Armée de libération leurs sentiments de grande affection pour le président Mao avaient dans leur grande majorité une bonne origine de classe et, en temps normal, un bon comportement.
Au contraire, après une première enquête, il apparut que le malade qui détruisait les biens de la collectivité provenait d’une famille appartenant à la classe exploiteuse et que sa vision du monde n’avait pas du tout changé.
L’équipe sanitaire et les dirigeants de l’hôpital ont mobilisé le personnel sanitaire révolutionnaire pour analyser les causes de ces maladies du point de vue de la lutte des classes, en se concentrant sur quelques cas typiques.
Il y avait une malade qui, après quelques mois de soins, ne s’était pas rétablie.
L’infirmière Siu Kueilan de l’équipe sanitaire a eu avec elle des entretiens intimes pour l’amener à parler de l’histoire de sa propre maladie et l’aider à en extirper les racines. Voici ce qui était arrivé : le fiancé de cette malade lui avait adressé une lettre, dans laquelle il lui disait qu’on lui avait attribué un travail de cuisinier.
La malade avait ressenti cela comme quelque chose d’infamant pour elle, et dans sa pensée il s’était produit une lutte aiguë qui bouleversa ses fonctions cérébrales et fut la cause de sa maladie mentale.
Gardant présente à son esprit cette situation, l’infirmière a étudié avec elle les brillants « trois articles les plus lus » du président Mao, a durement critiqué la thèse « étudier pour devenir fonctionnaire » et autres absurdités révisionnistes contre-révolutionnaires du renégat, agent de l’ennemi et traître à la classe ouvrière Liou Chao-chi, l’aidant à crever l’abcès idéologique.
Après avoir été ainsi éduquée et aidée, la malade a pris l’initiative d’écrire une lettre à son fiancé lui demandant de se mettre à l’école du camarade Tchang Seteh pour servir le peuple de tout son cœur.
Une fois extirpée la racine du mal et après une période de soins, pratiqués à l’aide de la nouvelle méthode d’acupuncture, cette malade a recouvré la santé très rapidement et est sortie de l’hôpital.
Les divers cas de ce type ont tous montré avec clarté que la cause de nombreuses maladies mentales réside dans le fait que, quand dans l’esprit il y a une lutte aiguë entre intérêt collectif et intérêt privé, si on tombe dans le cercle de l’intérêt privé et que sur le moment on ne réussit pas à en voir la raison, cela bouleverse partiellement les fonctions cérébrales, s’accompagne de la perte de la capacité normale du contrôle de la pensée et de la maîtrise des diverses parties de l’organisme.
De nombreux malades, après leur guérison, ont dit avec conviction que si on se concentre sur l’intérêt collectif, plus on pense et plus on a les idées claires, tandis que si on se concentre sur l’intérêt privé, plus on pense et plus on se brouille les idées.
A cause des effets néfastes de l’intérêt privé, quand on rencontre un problème, on n’arrive pas à le résoudre, et souvent des jours et des nuits durant, on n’arrive pas à manger et à dormir et l’esprit perd progressivement sa normalité.
L’équipe sanitaire de l’hôpital n° 165 et le personnel sanitaire de l’hôpital de Tchentchéou, après avoir compris de manière nouvelle les maladies mentales en se servant de la théorie de la connaissance du matérialisme dialectique, ont poursuivi l’examen du problème en se posant la question : sur quoi s’appuyer pour soigner les maladies mentales ?
Ils ont étudié de manière répétée ce grand enseignement du président Mao : « Les causes externes constituent la condition des changements, les causes internes en sont la base ; et les causes externes opèrent par l’intermédiaire des causes internes », et arrivèrent ainsi à comprendre que les diverses sortes de faits qui occasionnent les maladies mentales sont les causes externes, tandis que ce qui est décisif pour perturber les fonctions cérébrales et faire naître la maladie mentale est la conception du monde d’une personne, qui est la cause interne.
De là, il résulte que, pour guérir maladie mentale, le facteur principal est de bien développer le travail de transformation de la conception du monde du malade.
Ils affirment : les difficultés de l’esprit, c’est avec la force de l’esprit qu’il faut les vaincre ; pour guérir les maladies mentales, il faut s’appuyer essentiellement sur la pensée de Mao Zedong.
Ils insèrent le travail d’éducation du malade par la pensée de Mao Zedong dans le cours de la thérapeutique.
Quand le malade entre à l’hôpital, ils font avant toute autre chose un travail d’enquête pour connaître clairement son origine familiale, son passé, les causes de l’apparition de la maladie et les idées encore vivantes chez le malade ; en outre, ils organisent les patients de manière à ce qu’ils prennent part à la « lecture quotidienne » (des œuvres de Mao Zedong) ; à des réunions où l’on parle des expériences d’application de la pensée de Mao Zedong, sur des thèmes expressément choisis par eux ; aux réunions où l’on évoque les souffrances endurées dans le passé ; aux réunions de critique ; promouvant une activité d’aide réciproque pour « devenir rouges en s’entraidant deux à deux », ils créent des cours d’études sous diverses formes et, en relation étroite avec leurs conditions réelles, donnent au malade une éducation sur les classes, la situation, la lutte entre les deux lignes, la conception de la vie, la lutte contre la maladie, etc.
Outre cela, en se fondant sur les divers motifs qui ont provoqué la maladie, ils font une analyse concrète et mobilisent le personnel, les proches et les parents qui entourent le malade afin de développer un travail minutieux d’éducation idéologique pour conquérir les bastions irréductibles de l’intérêt individuel dans son esprit et soigner sa maladie à la racine.
Il y avait le cas d’une fille de paysan pauvre qui était tombée malade à six reprises ; elle avait été soignée dans un grand hôpital et avait subi vingt séances d’électrochoc, mais son mal ne s’en était pas trouvé guéri pour autant.
Certains disaient que, comme cette patiente, dans ses moments de maladie, se trouvait dans un état confusionnel, n’avait pas l’esprit lucide et avait les fonctions cérébrales bouleversées, lui inculquer la pensée de Mao Zedong ne pouvait donner aucun résultat.
L’équipe sanitaire et le personnel révolutionnaire de l’hôpital, étudiant et appliquant de façon créatrice la brillante pensée philosophique du président Mao, ont considéré que la thèse de l’« absence de résultats » était une manière de voir métaphysique.
Examinant le problème du point de vue de « un se divise en deux », ils estimèrent que les fonctions cérébrales de tout malade mental ont une partie bouleversée et une partie qui ne l’est pas.
Quand la maladie se manifeste, les facultés mentales du malade présentent un aspect d’absence de lucidité, mais aussi un aspect de lucidité ou de relative lucidité.
Il suffit de comprendre les caractéristiques de chaque malade et les lois du changement et du développement de son état, et concentrant l’action sur l’aspect de lucidité ou de relative lucidité, d’agir sur lui en usant de soins adaptés, pour qu’il soit possible de stimuler la conversion de l’aspect de non-lucidité en celui de lucidité et de guérir sa maladie mentale tant sur le plan idéologique que sur le plan physiologique.
Alors, l’infirmière Tsao Pingtong, de l’équipe sanitaire, prit l’initiative de former un « couple » d’aide réciproque avec la fille du paysan pauvre.
Plus la malade était agitée et plus l’infirmière agissait avec patience ; moins la malade faisait attention à elle et plus elle lui était proche.
Chaque jour, elle étudiait avec la malade les œuvres du président Mao ; elle eut avec elle de nombreuses conversations en toute confiance et, à la fin, elle réussit à entrer en contact avec elle et à mettre en mouvement sa pensée, et lors d’une réunion pour rappeler les souffrances du passé, la malade donna en pleurant les raisons qui avaient provoqué sa maladie.
Tsao Pingtong, profitant des brefs moments où la malade n’était pas agitée, étudia avec elle les citations du président Mao qui se référaient aux causes de sa maladie et, dans les réunions pour l’échange d’expériences, elle l’incita à lutter contre l’égoïsme et à critiquer le révisionnisme, à attaquer avec résolution son propre esprit et à transformer sa conception du monde.
Après seulement trois mois de traitement, cette malade fut guérie. Une fois sortie de l’hôpital, non seulement elle n’a pas fait de rechute, mais encore elle a eu un très bon comportement en ce qui concerne ses idées et son travail, et à deux reprises consécutives elle a été jugée digne d’être appelée employée aux « cinq perfections ».
A travers de nombreuses expériences thérapeutiques de ce genre, l’équipe sanitaire et le personnel sanitaire de l’hôpital ont renforcé davantage encore leur détermination à attaquer les maladies mentales à l’aide de la pensée de Mao Zedong et leur confiance dans l’entreprise.
Ils savent qu’il est beaucoup plus difficile de faire ce travail idéologique avec des malades qu’avec des personnes normales et qu’il est absolument impossible d’obtenir des résultats dans un court laps de temps.
Toutefois, si le personnel sanitaire ne cesse de mettre toute son énergie, sans désemparer, au service de l’éducation des malades mentaux par la pensée de Mao Zedong, il peut sans aucun doute parvenir au succès.
Quelques membres du personnel ont eu des dizaines d’entretiens à cœur ouvert avec des malades atteints de diverses formes de dépression sans que ceux-ci manifestent aucune réaction ; ils n’en ont pas été complètement découragés, mais, conservant résolument leur confiance dans la force de la pensée de Mao Zedong, ils ont persévéré sans relâche dans le minutieux et patient effort d’éducation idéologique ; à la fin, le patient a recouvré la santé et est retourné de nouveau sur le front des trois grandes luttes révolutionnaires.
La doctoresse Fan Tcheouhe, de l’hôpital psychiatrique, animée de profonds sentiments prolétariens, s’est installée à l’hôpital pour guérir une malade mentale atteinte d’une dépression et a partagé avec elle sa chambre et son lit ; après quarante jours d’un dur travail, elle a enfin réussi à déterminer les lois de l’activité psychique de la malade.
Alors, elle a choisi quelques citations du président Mao adaptées au cas et les a lues à la malade ; en outre, complétant la thérapie par la nouvelle acupuncture et pharmacologie, elle a graduellement amélioré l’état de la patiente.
Le chef de l’équipe sanitaire, Kou Tsiayen, pour soigner un homme qui refusait toute nourriture depuis plusieurs jours, et qui paraissait sur le point de perdre conscience, a organisé le personnel sanitaire pour effectuer des recherches et enquêtes scrupuleuses ; celles-ci firent apparaître que le patient refusait la nourriture probablement parce qu’il soupçonnait qu’elle contenait du poison.
Par la suite, quand on lui apportait sa nourriture, Kou Tsiayen en mangeait lui-même sous les regards du malade qui se délivra ainsi de ses soupçons et put se remettre à manger de grand appétit.
Aussitôt après, examinant le problème idéologique du malade, il étudia avec lui les « trois articles les plus lus », l’éduqua par l’évocation des souffrances du passé et la réflexion sur le bonheur présent, améliora progressivement son niveau de conscience et peu à peu le guérit de son mal.
Quand les membres du personnel sanitaire le raccompagnèrent chez lui, ses parents et les paysans pauvres et moyens-pauvres du village, dans leur émotion, crièrent à plusieurs reprises : « Vive le président Mao ! Vive, vive le président Mao ! »
Pour stimuler les capacités de participation subjective des patients dans la lutte contre les maladies, l’équipe sanitaire et les dirigeants de l’hôpital choisirent, parmi les malades dont l’état s’était amélioré, quelques éléments formant l’ossature sur laquelle se reposer pour prendre en main la « lecture quotidienne » et les « journées d’étude » des autres malades, organiser divers cours d’études de la pensée de Mao Zedong, donner vie à la grande critique révolutionnaire et organiser la participation des malades à des formes adéquates de travail productif et d’activités artistiques et sportives ; de cette façon, les malades vivent constamment dans un climat politique d’unité, de dynamisme, de sérieux, d’animation, et cela a renforcé leur détermination et leur confiance dans la victoire sur la maladie.
Quelques malades dont Tétât s’est amélioré ont fixé sur la porte de l’hôpital deux banderoles exprimant en ces termes leur résolution de vaincre la maladie :
« Combattre l’égoïsme et critiquer le révisionnisme, transformer radicalement sa conception du monde ; « Anéantir la bourgeoisie et faire triompher le prolétariat, vaincre résolument les maladies mentales. »
A travers deux années de pratique thérapeutique, l’équipe sanitaire et le personnel de l’hôpital psychiatrique de la région de Tchentchéou se sont profondément rendu compte du fait que, pour soigner les maladies mentales, ce qui est fondamental c’est d’éduquer les malades et d’administrer l’hôpital en se servant de la pensée de Mao Zedong
Toutefois, les maladies mentales sont, en fin de compte, différentes des « maladies idéologiques » ordinaires ; dans celles-là, le mouvement des contradictions dans l’esprit a déjà provoqué un bouleversement des fonctions cérébrales. C’est pourquoi, tandis qu’on continue à armer l’esprit des malades avec la pensée de Mao Zedong et à transformer leur vision du monde, il faut encore parfaire cela avec une thérapie à base de médicaments.
Mais de quels médicaments est-il bon de se servir ? L’équipe sanitaire et le personnel sanitaire de l’hôpital psychiatrique de Tchentchéou, s’en tenant au mot d’ordre du président Mao : « Que le passé serve le présent et que l’étranger serve le national », « examiner le vieux pour promouvoir le neuf », sont décidés à créer une nouvelle médecine et une nouvelle pharmacologie pour soigner les maladies mentales, en combinant la médecine chinoise traditionnelle avec la médecine occidentale.
Dans les confrontations des méthodes thérapeutiques de la médecine chinoise traditionnelle et de la médecine occidentale et de leurs pharmacologies respectives, ils adoptent l’attitude qui consiste à prendre le grain en écartant la balle de l’épi, et à créer ainsi une nouvelle médecine et une nouvelle pharmacie en conservant les côtés positifs des deux, sur la base d’un processus ininterrompu d’expériences et de bilans.
Pour déterminer les « points » thérapeutiques de la nouvelle acupuncture en ce qui concerne les maladies mentales, l’équipe sanitaire et le personnel de l’hôpital ont préféré expérimenter mille fois sur leur propre corps plutôt que d’enfoncer une aiguille de façon erronée dans le corps des malades.
Le cadre dirigeant de l’hôpital, Tang Pingyu, âgé de plus de cinquante ans, continue encore à s’exercer avec les aiguilles sur son propre corps.
Sur quelques dizaines de points, ils en ont retenu un peu plus de dix sur lesquels ils exercent l’acupuncture en tenant compte de la spécificité des cas, avec de très bons résultats. En même temps, ils procèdent à l’emploi expérimental des plantes médicinales de la médecine chinoise pour soigner les maladies mentales…
Pour la sécurité des malades, ils ont auparavant essayé sur eux-mêmes chaque combinaison et ont enfin réussi à mettre au point quelques produits efficaces pour lutter contre les maladies mentales.
Ils ont aussi employé de manière adéquate les médicaments de la médecine occidentale, en les soumettant à des vérifications expérimentales.
Dans le passé, on utilisait de fortes doses de calmants qui provoquaient chez le malade un état de torpeur et de manque de lucidité pour la journée entière, des difficultés de déglutition et autres symptômes, et cela n’aidait pas le malade à recouvrer la santé.
Mais les calmants ont un effet sédatif et, utilisés à petites doses, ils jouent un certain rôle dans le contrôle de l’apparition des symptômes et le rétablissement des fonctions cérébrales.
Ainsi, selon les divers états de la maladie, l’usage de la nouvelle acupuncture et des plantes médicinales, combiné avec de petites doses de calmants, est parvenu à améliorer les résultats de la thérapie sans nuire à la santé des patients….
Les résultats obtenus par l’équipe sanitaire de l’hôpital n° 165 et de l’hôpital psychiatrique de la région de Tchentchéou dans la guérison des maladies mentales à l’aide de la pensée de Mao Zedong ont été exaltés par la population.
Le ministère de la santé a ouvert un cours d’études spéciales, dans cet hôpital, pour diffuser leurs expériences. A présent ils continuent à progresser, en suivant la ligne prolétarienne du Président Mao dans le domaine sanitaire.