L’année 2025 commence avec le début de la seconde présidence de Donald Trump aux Etats-Unis. Autant dire que rien qu’avec cela, on a la certitude que les choses vont mal tourner.
La superpuissance impérialiste américaine ne dispose-t-elle pas de l’hégémonie dans le monde ?
Et c’est là le paradoxe dialectique. Parce qu’elle dispose de l’hégémonie, cette superpuissance impérialiste américaine est obligée de prendre l’initiative, de tout chambouler, afin d’inaugurer un nouveau cycle où elle aura de nouveau l’hégémonie.
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Car dans l’ombre de l’hégémonie de la période 1989-2020, il y a la superpuissance impérialiste chinoise qui a grandi, pris des forces. Elle cherche la parité stratégique, elle compte bien prendre la place de numéro 1 mondial dans tous les domaines.
On ne va pas échapper au conflit entre une superpuissance qui a peur qu’on prenne sa place et une superpuissance qui a peur de se faire démanteler avant d’être parvenue à suffisamment de forces pour triompher.
La tendance à la guerre est irrépressible. On va à la bataille pour le repartage du monde. En même temps, c’est l’agonie du capitalisme qui cherche une porte de sortie par la guerre impérialiste.
Nous vivons ainsi une époque terrible, mais il en va ainsi de la naissance d’une nouvelle société devant dépasser le capitalisme, l’impérialisme et ce à l’échelle mondiale.
Notre rôle est d’être à la hauteur de notre époque !
