Il n’est littéralement pas un jour qui passe sans qu’il n’y ait à travers le monde un renforcement des tensions, une course à l’armement qui s’approfondisse, une escalade militariste, une exacerbation des poussées en direction de la grande bataille pour le repartage du monde.

Cet aspect a été très tôt souligné par Crise ; nous avons déjà montré l’étroit rapport qui existe entre rationalisation capitaliste et militarisme, exposant le caractère dialectique de ces deux aspects de la seconde crise générale du capitalisme ouverte en 2020.

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Cela indique que l’orientation générale est correcte, que le chemin a été bien tracé et, d’ailleurs, Crise s’installe de plus en plus comme une référence et un outil, ce qui est une très bonne chose. Cela ne peut aller que de l’avant. Quiconque cherche à poser les bonnes questions est obligé de passer par Crise pour trouver à la fois pistes, inspiration, explications, orientations.

Ce numéro est également le premier à paraître alors que Gonzalo n’est plus.

C’est évidemment quelque chose d’historique, parce que cela impose encore plus de responsabilités, puisqu’il s’agit ni plus ni moins que de prendre le relais, en saisissant son appel à ce que le maoïsme soit au poste de commande et soit le guide de la révolution mondiale.

La réponse à la guerre impérialiste mondiale est la guerre populaire mondiale et il n’y a jamais lieu de converger avec aucun des protagonistes impérialistes ou expansionnistes. L’avenir appartient à la République Socialiste Mondiale.


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