La crise commencée en 2020 emporte tout sur son passage, l’instabilité produit la tentative de s’en sortir par l’expansion et le conflit armé entre l’Inde et le Pakistan en mai 2025 en est l’expression directe.

Zone par zone, pays par pays, c’est le décrochage, avec une logique de repli nationaliste et d’agressivité extérieure, de militarisme et de prétentions internationales.

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La Russie et l’Ukraine, Israël et Gaza, l’Azerbaïdjan et l’Arménie, Donald Trump élu pour un nouveau mandat à la présidence américaine, le conflit « indopak »… tout cela rentre dans un contexte et forme substantiellement le contexte lui même, celui de la guerre pour le repartage du monde.

Le rythme des affrontements militaires change bien sûr, selon les situations tant locales qu’internationales. Suivre le rythme des événements est la fonction de Crise, et pour cette raison aucun numéro n’est réellement indépendant des autres.

Tout forme une accumulation, une sorte d’ignoble vague précipitant la guerre mondiale, et à laquelle doit s’opposer la seconde vague de la révolution mondiale.

En aucun cas, il n’est possible de penser qu’il est possible d’être révolutionnaire dans son pays en se contentant de suivre les événements nationaux au quotidien. Il y a forcément une dialectique qui se joue, tant entre les Etats que dans les rapports économiques internationaux, ainsi bien sûr que sur le plan de la lutte des classes.

Il faut, pour cette raison, souligner tant l’importance du refus de toute reddition que celle de l’acceptation de la bataille pour la ligne rouge. Rien ne vient spontanément, et encore moins dans des pays capitalistes impérialistes au haut niveau de vie, où le poids croissant de la subjectivité est évident pour développer la proposition révolutionnaire.


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