La rupture « sino-soviétique », comme l’ont appelé les médias à l’époque, consiste en le grand conflit idéologique entre d’un côté le Parti Communiste d’Union Soviétique (PCUS) et le Parti Communiste de Chine (PCC).
Suite à la mort de Staline, une clique a pris le pouvoir par un coup d’État et a commencé à généraliser le révisionnisme, transformant l’appareil d’État de l’Union Soviétique en machinerie fasciste.
Le PCUS remettait alors totalement en cause les enseignements de Marx, Engels et Lénine, rejetant même Staline.
C’est alors le Parti Communiste de Chine qui a assumé le combat idéologique, qui a été marqué par trois moments clefs, dans une montée en puissance de la critique effectuée, strictement parallèle à la progression dans la compréhension du matérialisme dialectique…