(a) LA GRANDE AMITIÉ (HOMMAGE ÉCRIT PAR MAO TSE-TOUNG A LA MORT DE STALINE, LE 5 MARS 1953)

Joseph Staline, le plus grand génie de notre temps, le grand éducateur du mouvement communiste international, le compagnon d’armes de l’immortel Lénine, nous a quittés pour toujours.

L’apport du camarade Staline à notre époque en ce qui concerne son oeuvre aussi bien théorique que pratique est inestimable. Le camarade Staline est le représentant de toute une époque nouvelle. Son œuvre a permis au peuple soviétique et aux travailleurs de tous les pays de modifier toute la situation internationale. Cela signifie que la cause de la justice, de la démocratie populaire et du socialisme a remporté la victoire sur un secteur immense du monde, un secteur comprenant le tiers de la population du globe, soit plus de 800 millions d’habitants. L’influence de cette victoire s’étend de jour en jour en tous les points du monde.

Le décès du camarade Staline a provoqué un deuil sans exemple parmi les travailleurs du monde entier. Il a profondément affecté tous les honnêtes gens. Ce qui prouve que la cause et les idées du camarade Staline ont pénétré les larges masses populaires du monde entier, et qu’elles sont déjà devenues une force invincible. Cette force permet aux peuples qui ont déjà triomphé de remporter coup sur coup de nouvelles victoires, et, en même temps, elle permettra à tous ceux qui souffrent encore sous le joug du vieux monde capitaliste pourri de vices de livrer hardiment assaut aux ennemis du peuple.

Après la mort de Staline, le peuple soviétique a édifié sous la direction du camarade Staline une société socialise claire, radieuse, dans le premier Etat socialiste du monde que celui-ci a créé avec le grand Lénine lors de la Révolution d’Octobre.

La victoire de l’édification socialiste en Union Soviétique n’est pas seulement une victoire pour le peuple soviétique mais aussi la victoire commune des peuples du monde entier. Tout d’abord, cette victoire a inscrit dans la vie elle-même la preuve de la justesse absolue du marxisme-léninisme ; elle a enseigné concrètement aux ouvriers du monde entier la marche à suivre pour arriver à une vie heureuse. Cette victoire a également permis à l’humanité d’écraser la bête fasciste pendant la deuxième guerre mondiale. On ne peut imaginer qu’il ait été possible de remporter la victoire sur le fascisme sans la victoire de l’édification socialiste en URSS. La victoire de l’édification socialiste en URSS et la victoire dans la guerre anti-fasciste sont directement en rapport avec le sort de l’humanité, et la gloire de ces victoires revient à juste titre au grand camarade Staline.

On doit au camarade Staline un développement classique de la théorie marxiste-léniniste dans tous les domaines ; il a ouvert une nouvelle période dans le développement du marxisme. Le camarade Staline a enrichi la théorie de Lénine sur le développement inégal du capitalisme, et la théorie sur la possibilité de victoire du socialisme dans un seul pays ; le camarade Staline a enrichi la théorie de la crise générale du système capitaliste ; la théorie de l’édification du communisme en URSS. Il a découvert et défini scientifiquement la loi économique fondamentale du capitalisme actuel et la loi économique fondamentale du socialisme ; il a enrichi la théorie de la révolution dans les pays coloniaux et semi-coloniaux.

Le camarade Staline a aussi développé d’une façon créatrice la théorie léniniste sur l’édification du Parti. Tout cela a rassemblé encore plus étroitement les ouvriers du monde entier ainsi que toutes les classes opprimées et tous les peuples opprimés, ce qui a conféré une intensité sans précédent à la lutte de la classe ouvrière et de tous les peuples opprimés pour leur libération et leur bonheur, et a assuré à cette lutte des succès d’une ampleur inouïe.

Tous les ouvrages du camarade Staline sont autant d’apports immortels au marxisme. Ses oeuvres : Les principes du Léninisme, L’Histoire du Parti Communiste (bolchévik) de l’URSS et son dernier grand ouvrage : Les problèmes économiques du socialisme en URSS sont une encyclopédie du marxisme-léninisme, une somme de l’expérience du mouvement communiste international au cours des cent dernières années. Son discours au XIXe Congrès du Parti communiste de l’Union Soviétique est un précieux testament laissé aux communistes de tous les pays du monde. Nous autres, communistes chinois, comme d’ailleurs les communistes de tous les pays du monde, nous trouvons dans les grandes œuvres du camarade Staline les voies de nos victoires.

Depuis la mort de Staline, le camarade Staline n’a jamais cessé d’être la figure centrale du mouvement communiste international. Groupés autour de lui, nous avons constamment reçu de lui des indications et puisé dans ses œuvres la force idéologique. Le camarade Staline nourrissait une chaleureuse amitié pour les peuples opprimés de l’Orient. « N’oubliez pas l’Orient », tel fut le grand appel lancé par le camarade Staline après la Révolution d’Octobre

Chacun sait que le camarade Staline était animé d’un amour ardent pour le peuple chinois et qu’il estimait immenses les forces de la révolution chinoise. Dans les problèmes de la révolution chinoise, il a fait preuve de la plus grande sagacité. S’inspirant de la doctrine de Lénine et de Staline et aidé par le grand Etat Soviétique et par toutes les forces révolutionnaires de tous les pays, le Parti communiste chinois et le peuple chinois ont remporté il y a quelques années leur victoire historique.

Maintenant nous avons perdu notre grand éducateur et notre plus sincère ami, le camarade Staline. C’est un grand malheur. Aucune parole ne pourrait exprimer la douleur que nous en éprouvons.

Notre tâche est de transformer cette douleur en force. Conservant pieusement le souvenir de notre grand éducateur Staline, le Parti communiste chinois ainsi que le peuple chinois, ainsi que le Parti communiste de l’Union Soviétique et le peuple Soviétique renforceront sans cesse leur grande amitié que symbolise le nom de Staline. Les communistes chinois et le peuple chinois apporteront encore plus de ténacité à l’étude des enseignements de Staline, à l’étude de la science et de la technique soviétiques, pour édifier leur Etat.

Le Parti communiste de l’Union Soviétique a été formé par Lénine et par Staline, c’est le Parti le plus avancé, le plus expérimenté et le plus éduqué théoriquement qui soit au monde. Ce Parti a été notre modèle dans le passé, il le demeure dans le présent et il le sera aussi dans l’avenir. Nous sommes profondément persuadés que le Comité central du Parti communiste de l’Union Soviétique et le Gouvernement soviétique, dirigés par le camarade Malenkov sauront parfaitement poursuivre l’œuvre du camarade Staline, faire progresser et développer brillamment la grande cause du communisme.

Il n’y a pas le moindre doute que le camp mondial de la paix, de la démocratie et du socialisme, qui a à sa tête l’Union Soviétique, renforcera encore sa cohésion et deviendra encore plus puissant.

Pendant plus de trente ans, l’enseignement du camarade Staline et l’exemple de l’édification socialiste en Union Soviétique ont contribué à faire avancer l’humanité à pas de géants. Maintenant l’Union Soviétique est devenue si puissante, la Révolution populaire chinoise a remporté une si grande victoire, l’édification dans les pays de démocratie populaire a enregistré de si grands succès, le mouvement des peuples à travers le monde contre l’oppression et l’agression s’est développé à un tel point et notre front de l’amitié et de l’unité s’est tellement consolidée que nous avons toutes les raisons d’affirmer que nous ne redoutons aucune agression impérialiste. Toute agression impérialiste se heurtera à une riposte foudroyante de notre part, toutes les viles provocations aboutiront à un échec.

La grande amitié entre les peuples de la Chine et de l’Union Soviétique est indestructible parce qu’elle repose sur les grands principes de l’internationalisme de Marx, Engels, Lénine et Staline. L’amitié des peuples de la Chine et de l’Union Soviétique ainsi que des peuples des pays de démocratie populaire, l’amitié de tous les peuples épris de paix, de démocratie et de justice dans le monde entier repose également sur les grands principes de l’internationalisme, et c’est pourquoi elle est également indestructible.

Il est compréhensible que les forces engagées par cette amitié soient immenses, inépuisables et véritablement invincibles.

Que tous les agresseurs impérialistes et tous les fauteurs de guerre tremblent devant notre grande amitié !

Vive la doctrine de Marx, Engels, Lénine et Staline !

Gloire au long des siècles au nom immortel du grand Staline !

(Études soviétiques, 1953)


(b) EXTRAIT DE MATÉRIEL DE RÉFÉRENCE POUR « UN GRAND DOCUMENT HISTORIQUE », PÉKIN, 1967

(…)

Après la mort de Lénine, Staline prenant la relève de la grande entreprise de Lénine, dirigea le Parti communiste et le peuple de l’Union Soviétique de façon à défendre et consolider la dictature du prolétariat, réaliser l’industrialisation agricole, remportant de magnifiques succès dans la révolution et l’édification socialistes.

Staline était un grand marxiste-léniniste. Il a éliminé dans la pratique un grand nombre de représentants de la bourgeoisie contre-révolutionnaire qui se sont infiltrés dans le Parti tels que Trotsky, Zinoviev, Kamenev, Radek, Boukharine, Rykov et consorts.

Ces représentants de la bourgeoisie contre-révolutionnaire, infiltrés dans le Parti, étaient des ennemis jurés du léninisme. Ils sapaient par mille et mille moyens la ligne léniniste sur une série d’importants problèmes de la révolution, tentant d’étouffer la révolution socialiste.

Trotsky s’opposa à la théorie de Lénine et de Staline sur la possibilité de la victoire du socialisme dans un seul pays. Il avança par contre la « théorie de la révolution permanente », une théorie contre-révolutionnaire, qui affirme qu’il est impossible pour un pays isolé d’échapper à la « dépendance matérielle vis-à-vis de l’économie mondiale » et qu’il lui est impossible d’entreprendre l’édification socialiste par ses propres moyens.

Il s’opposa à la dictature du prolétariat, prétendant qu’elle serait inéluctablement en « collision hostile » avec les larges masses de la paysannerie. Il calomnia et attaqua Staline disant que de dernier voulait transformer l’appareil d’Etat en un « outil de contrainte inouï » pour « étouffer l’indépendance du peuple ».

Trotsky concentra ses attaques contre la force dirigeante de la dictature du prolétariat, le Parti communiste. Après la mort de Lénine, sous couvert de la « restauration de la démocratie au sein du Parti », de la « lutte contre la bureaucratie », de l’instauration de la direction collective », il s’opposa à la juste direction du Comité central du Parti ayant Staline à sa tête. Il chercha à transformer le P.C. (bolchévik) de l’URSS en parti bourgeois, c’est-à-dire un parti révisionniste travaillant à la restauration du capitalisme.

Il attaqua frénétiquement l’industrialisation socialiste et la collectivisation agricole dans ses efforts désespérés pour restaurer le capitalisme. Il clama à cor et à cri qu’en Union Soviétique, faute d’une industrie développée, la collectivisation agricole ne constituait qu’une « méthode aveugle, brutale et aventureuse ». Il formula un soi-disant plan de supra-industrialisation, qui aurait entraîné une augmentation des impôts à payer par la paysannerie et par là ébranlé l’alliance des ouvriers et des paysans, sapé les liens économiques entre les villes et les campagnes et miné les fondements de l’industrie.

Zonoviev et Kamenev ont crié également à cor et à cri que l’Union Soviétique était en retard sur le plan économique et technique, et qu’elle ne pourrait donc arriver à la victoire du socialisme. Dans l’été 1926, Zinoviev forma avec Trotsky une alliance anti-parti, et chanta le même refrain que ce dernier sur beaucoup d’importants problèmes.

Staline a écrit nombre d’œuvres : Des principes du léninisme, Sur les questions du léninisme, Questions et réponses, où il a âprement critiqué les arguments fallacieux et opportunistes de Trotsky et défendu le léninisme. Il a dit « Le manque de confiance dans le potentiel socialiste de notre travail d’édification conduit au liquidationnisme et à la dégénérescence » (Questions et réponses).
Staline estimait que la victoire du socialisme était possible dans un seul pays puisque le pouvoir des Soviets bénéficiait de l’appui de la puissante alliance des ouvriers et des paysans et était soutenu par le prolétariat international et les peuples des colonies et semi-colonies. Staline a montré que l’essence des théories fallacieuses de Trotsky était de « déblayer la route à la République démocratique bourgeoise. » (Rapport politique du C.C. au XVIe Congrès du Parti communiste (b) de l’URSS). Il a dénoncé la formule de Trotsky : « restauration de la démocratie au sein du Parti » en montrant que cette formule vise à saper l’unité du Parti, briser son épine dorsale et le disloquer. Il a indiqué que les trotskistes étaient des « partisans de l’industrialisation en paroles mais, en fait, des complices des ennemis de l’industrialisation », (Le bloc d’opposition dans le P.C. (b) de l’URSS).

Radek, Boukharine et Rykov protégèrent ouvertement les intérêts des koulaks en avançant la théorie « de l’extinction des luttes de classe ». Ils prétendirent que plus la victoire remportée par le socialisme est grande, moins les luttes de classe seront aiguës, que l’ennemi de classe se retirera de sa position sans offrir aucune résistance, que les koulaks « s’intègreront pacifiquement » dans le socialisme, et ainsi de suite, tous ces propos visant à s’opposer à la collectivisation de l’agriculture.

Staline a indiqué que Boukharine, Rykov et consorts étaient des agents des koulaks au sein du Parti, et que le danger de « la théorie de l’extinction des luttes de classe », de Boukharine réside dans ce « qu’elle endort la classe ouvrière, entame la volonté de mobilisation des forces révolutionnaires de notre pays, démobilise la classe ouvrière et facilite l’offensive des éléments capitalistes contre le pouvoir des Soviets » (De la déviation de droite dans le P.C. (b) de l’URSS, « Les questions du léninisme »).

Sous la direction de Staline, le Parti et le peuple soviétique ont résolument engagé des luttes réitérées contre Trotsky, Zinoviev, Boukharine et d’autres représentants de la bourgeoisie qui s’étaient infiltrés dans le Parti, mettant en échec total leur ligne opportuniste et finalement purgeant les rangs du Parti de leur présence.

A la suite de la réalisation de l’industrialisation socialiste et de la collectivisation de l’agriculture dans le pays, c’est-à-dire de l’accomplissement essentiel de la transformation socialiste de la propriété des moyens de production en Union Soviétique, Staline a fait au VIIIe Congrès des Soviets de l’URSS en novembre 1936 un rapport intitulé « Sur le projet de Constitution de l’URSS ». Le rapport, tout en résumant correctement les magnifiques réalisations accomplies par l’Union Soviétique dans la révolution et l’édification socialistes, révèle d’une manière concentrée les insuffisances de Staline en matière de théorie.

Sur le plan théorique, Staline n’admettait pas que pendant toute la période historique de la dictature du prolétariat, des classes et des luttes de classe existent dans la société. Dans son rapport « Sur le projet de Constitution de l’URSS », il a dit : … la classe des grands propriétaires fonciers avait déjà été liquidée à la suite de notre victoire finale dans la guerre civile. Les autres classes exploiteuses ont partagé le même sort. Plus de classe des capitalistes dans l’industrie. Plus de classe des koulaks dans l’agriculture. Plus de marchands et spéculateurs dans le commerce. De sorte que toutes les classes exploiteuses ont été liquidées » ; que « les démarcations entre la classe ouvrière et la paysannerie, de même qu’entre ces classes et les intellectuels (qui demeurent encore), s’effacent et que disparait le vieil exclusivisme de classe. C’est donc que la distance entre ces groupes sociaux diminue de plus en plus ». « Les contradictions économiques entre ces groupes sociaux tombent, s’effacent », « tombent et s’effacent également les contradictions politiques qui existent entre eux » (Sur le projet de Constitution de l’URSS, « Les questions du léninisme »).

Staline a dit en outre : « L’économie socialiste en URSS où la propriété sociale d s moyens de production est en parfait accord avec le caractère social du processus de production… est un exemple de l’accord parfait entre les rapports de production et le caractère des forces productives » (Le Matérialisme dialectique et le Matérialisme historique, « Le Questions du léninisme »).

Staline n’admettait pas non plus en théorie que la question de savoir qui l’emportera dans la révolution n’est pas définitivement résolue pendant toute la période historique de la dictature du prolétariat et que, si elle n’était pas réglée comme il fallait, un retour à la bourgeoisie serait possible. Dans son rapport « Sur le projet de Constitution de l’URSS », Staline a dit : « Ainsi la victoire totale du système socialiste dans toutes les sphères de l’économie nationale est désormais un fait acquis ». Et il poursuit : « « … l’exploitation de l’homme par l’homme a été supprimée, liquidée, et la propriété socialiste des instruments et moyens de production s’est affirmée comme la base inébranlable de notre société soviétique » (Sur le projet de Constitution de l’URSS, « Les Questions du Léninisme »).

Toutefois, Staline était avant tout un ferme révolutionnaire prolétarien. Après la pratique d’une longue période de luttes, il a aperçu ce point pendant ses dernières années de vie, et il a déclaré que les contradictions continuent à exister en société socialiste et que si on ne s’applique pas à les résoudre comme il faut, elles pourraient se transformer en contradictions antagonistes.

En 1952, un an avant sa mort, Staline a publié son œuvre : Les problèmes économiques du socialisme en URSS dans lequel il affirme que sous le régime socialiste subsistaient des contradictions entre les rapports de production et les forces productives. Dans la partie du livre critiquant Iarochenko, Staline a écrit : « Le camarade Iarochenko se trompe quand il soutient que sous le socialisme il n’existe aucune contradiction entre les rapports de production et les forces productives de la société. Certes, nos rapports de production connaissent actuellement une période où ils correspondent pleinement à la croissance des forces productives et les font progresser à pas de géant. Mais ce serait une erreur de se tranquilliser et de croire qu’il n’existe aucune contradiction entre nos forces productives et les rapports de production. Des contradictions, il y en a et il y en aura certainement, puisque le développement des rapports de production retarde et retardera sur le développement des forces productives. Si les organismes dirigeants appliquent une politique juste, ces contradictions ne peuvent dégénérer en antagonisme, et elles n’aboutiront pas à un conflit entre les rapports de production et les forces productives de la société. Il en ira autrement si nous faisons une politique erronée comme celle que recommande le camarade Iarochenko. Un conflit sera alors inévitable, et nos rapports de production peuvent devenir une très sérieuse entrave au développement des forces productives ». (Les problèmes économiques du socialisme en URSS).

Après la mort de Staline, la clique révisionniste de Khrouchtchev, ayant usurpé la direction du Parti et de l’Etat, transforma la dictature du prolétariat en dictature de la bourgeoisie et se mit à restaurer le capitalisme en Union Soviétique, premier pays socialiste. C’est là la plus grave leçon dans l’histoire de la dictature du prolétariat du monde.

Notre grand dirigeant, le président Mao, a accordé une profonde attention à l’ensemble des expériences historiques de l’URSS. Il a correctement et de façon exhaustive résolu une série d’importants problèmes sur la lutte des classes et la révolution dans les conditions de la dictature du prolétariat, par ses multiples et brillants ouvrages et directives, par la « Circulaire » du 16 mai 1966 du Comité central du P.C.C. – un grand document historique – et par la pratique riche de signification de la grande révolution culturelle prolétarienne qu’il a déclenchée et qu’il dirige personnellement. C’est là un développement du marxisme-léninisme qui fait époque.

(Hongqi, n° 7, 1967)


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