Vingt-trois ans se sont écoulés depuis la fondation de la République populaire de Chine. Durant cette période, le peuple chinois, progressant sur la grande voie révolutionnaire du socialisme, a mené un combat victorieux sous la direction de son grand dirigeant, le président Mao. Aujourd’hui, le peuple de nos diverses nationalités célèbre dans l’enthousiasme le brillant anniversaire de sa patrie alors que règne une situation excellente tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.
Depuis une année, de très grands changements sont intervenus dans la situation mondiale. La lutte révolutionnaire des peuples a connu de nouveaux développements. En Indochine, au Moyen-Orient et dans l’ensemble de l’Asie, de l’Afrique et de l’Amérique latine, se sont affirmés l’approfondissement et l’essor de la lutte populaire pour la conquête de la libération nationale et la sauvegarde de l’indépendance nationale.
L’opposition à la politique du plus fort et à l’hégémonisme des superpuissances est d’ores et déjà devenue une exigence commune des peuples. Dans la première zone intermédiaire et même dans la seconde, des pays en nombre croissant s’unissent sous des formes et à des échelles différentes et luttent contre une ou deux super-puissances. Les pays du tiers monde jouent un rôle grandissant dans les affaires internationales. Certains pays sévèrement contrôlés par le révisionnisme soviétique ou l’impérialisme américain s’efforcent eux aussi de mettre fin à leur dépendance.
L’annonce par l’Egypte du renvoi des experts militaires soviétiques et d’une partie des officiers et soldats soviétiques ; l’extension du Marché commun et la création de la Zone de libre Echange groupant dix-sept pays en Europe occidentale, ainsi que les nouvelles orientations du Japon et d’autres pays sur le plan diplomatique, tout cela montre que de nouveaux rajustements et changements sont en cours dans les relations internationales.
Au cours de l’année écoulée, notre pays a continué à appliquer intégralement la ligne révolutionnaire du président Mao pour les affaires étrangères. Nous avons encore développé nos relations d’amitié, d’entraide et de coopération avec les autres pays socialistes. Nous soutenons fermement la lutte de résistance menée par les peuples du Vietnam, du Laos et du Cambodge contre l’agression américaine, pour le salut national ; nous soutenons la juste lutte menée par les peuples d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine pour conquérir et sauvegarder l’indépendance nationale et défendre la souveraineté d’Etat.
Nous nous en tenons à la coexistence pacifique avec les pays à systèmes sociaux différents sur la base des Cinq Principes et œuvrons au relâchement de la tension internationale. C’est de cette manière que nous avons procédé à l’égard des pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine ; c’est également de cette manière que nous avons procédé à l’égard des pays de la seconde zone intermédiaire. Même avec les pays qui appliquaient une politique hostile à la Chine mais qui ont exprimé le désir de modifier cette politique, nous avons mené des négociations en vue d’améliorer les rapports d’Etat à Etat. Nous avons été fermes sur les principes et avons fait preuve en même temps de la souplesse qu’autorise et qu’exige l’application de ces principes.
La politique étrangère de notre pays a bénéficié d’une sympathie et d’un soutien toujours plus larges dans le monde. Nos contacts amicaux avec les autres peuples se sont encore étendus. Après plus de vingt ans, notre pays a enfin été rétabli dans ses droits légitimes à l’O.N.U. et la clique de Tchiang Kaï-chek en a été expulsée. Depuis l’année dernière, vingt pays ont établi ou rétabli des relations diplomatiques avec la Chine.
Les chefs d’Etat, les chefs de gouvernement et les ministres des Affaires étrangères ainsi que des délégations gouvernementales de nombreux pays ont effectué des visites en Chine. Après plus de vingt ans d’interruption des relations sino-américaines, le président des Etats-Unis Nixon a effectué en février dernier une visite en Chine ; les dirigeants des deux pays ont eu des entretiens sérieux, francs et bénéfiques au sujet des relations sino-américaines et des affaires mondiales.
La porte a ainsi été ouverte aux échanges amicaux entre les peuples chinois et américain. Le premier ministre du Japon Kakuei Tanaka vient d’effectuer sur invitation une visite en Chine et les dirigeants de la Chine et du Japon ont eu des entretiens amicaux qui ont abouti à un important accord sur la normalisation des relations entre la Chine et le Japon.
La fin de l’état de guerre et l’établissement de relations diplomatiques entre la Chine et le Japon sont des aspirations que les deux peuples nourrissent depuis longtemps et leur réalisation a inauguré une page nouvelle dans les relations sino-japonaises. Voilà qui ne manquera pas de jouer un rôle positif dans le relâchement de la tension en Asie et la défense de la paix dans le monde.
Ces grands succès de la ligne définie par le président Mao pour les affaires étrangères signifient le fiasco complet de la politique tendant à isoler la Chine et la débâcle du plan contre-révolutionnaire de ceux qui persistent à vouloir encercler notre pays.
Le monde actuel est encore loin de connaître la tranquillité. Au Viet Nam et dans toute l’Indochine, l’impérialisme américain poursuit une guerre sanguinaire et n’a toujours pas retiré totalement ses troupes d’agression et celles de ses satellites ; qui plus est, il renforce encore ses unités navales et aériennes qui bombardent le Vietnam et le soumettent au blocus. Du fait de la dispute entre le révisionnisme soviétique et l’impérialisme américain, la tension continue de régner dans le sous-continent de l’Asie du Sud, au Moyen-Orient et dans d’autres régions.
Bien que l’Union soviétique et les Etats-Unis, ces deux super-puissances, aient mené des négociations et aient conclu certains accords, ces compromis et cette détente qui ne sont qu’une apparence leur servent uniquement à préparer de nouvelles disputes. L’encre n’était même pas sèche sur l’accord que l’Union soviétique et les Etats-Unis ont signé à Moscou sur la soi-disant limitation des armes offensives stratégiques, que l’une intensifiait les essais et la fabrication d’armes nucléaires nouvelles et que l’autre augmentait aussitôt dans de fortes proportions ses dépenses militaires ; c’est ainsi qu’ils ont entamé une nouvelle phase de la course aux armements nucléaires.
Au Moyen-Orient, ils maintiennent une situation ni guerre ni paix et intensifient leurs disputes, ouvertes ou dissimulées, s’efforçant de resserrer leur contrôle sur les pays arabes et de réprimer le mouvement révolutionnaire palestinien. Le grand battage que le révisionnisme soviétique fait autour du problème dit de la sécurité européenne démontre bel et bien que cette région est l’objet principal de sa dispute avec l’impérialisme américain.
La clique des renégats révisionnistes soviétiques se révèle encore plus clairement sous ses traits social-impérialiste dans sa dispute avec l’impérialisme américain. Son appétit devient insatiable et elle intervient partout. Elle est encore plus fourbe et partant plus dangereuse que les pays impérialistes ancienne manière. Lénine a dit :
« … socialisme en paroles, impérialisme dans les faits, transformation de l’opportunisme en impérialisme ».
Le social-impérialisme révisionniste soviétique prône bruyamment la « paix » et la « sécurité » alors qu’il applique une politique d’expansion par les armes ; il se vante de « soutenir les mouvements de libération nationale » alors qu’il pratique fébrilement le néo-colonialisme en Asie, en Afrique et en Amérique latine ; il prêche sans vergogne le « désarmement » alors qu’il intensifie la course aux armements et la préparation à la guerre.
Tout récemment encore, les révisionnistes soviétiques vantaient à la présente session de l’Assemblée générale des Nations unies ce qu’ils appellent « l’interdiction définitive de l’utilisation des armes nucléaires ». C’est là une pure duperie, car leur but n’est autre que d’échapper aux obligations qui découleraient de l’interdiction complète et de la destruction totale des armes nucléaires, afin de pouvoir maintenir leur monopole nucléaire.
Mais, ce qui est faux est faux. On peut tromper les gens un certain temps, mais pas tout le temps. Aujourd’hui encore, on condamne l’occupation militaire de la Tchécoslovaquie par les révisionnistes soviétiques. En poussant l’Inde à déclencher une guerre d’agression contre le Pakistan, ceux-ci ont révélé une fois de plus leurs ambitions expansionnistes. Leur complot visant à contrôler les pays arabes s’est davantage dévoilé. Leurs activités subversives ont subi revers et échecs dans beaucoup de pays.
Ces faits peu reluisants ont contribué dans une grande mesure à ouvrir les yeux aux gens. L’agression et l’expansion du révisionnisme soviétique ont non seulement suscité à l’étranger une opposition de plus en plus vive de la part des peuples, mais accéléré encore l’aggravation des diverses crises à l’intérieur du pays, si bien que le révisionnisme soviétique se trouve dans des difficultés croissantes à l’intérieur comme à l’extérieur.
Le président Mao nous enseigne :
« Pour ce qui est de la guerre mondiale, il n’y a au fond que deux possibilités : Ou c’est la guerre qui provoque la révolution, ou c’est la révolution qui conjure la guerre. » « Le danger d’une nouvelle guerre mondiale demeure et les peuples du monde doivent y être préparés. Mais aujourd’hui, dans le monde, la tendance principale, c’est la révolution. »
Pour le mouvement révolutionnaire des peuples du monde l’avenir est radieux, mais la voie pleine de vicissitudes. Pour remporter la victoire dans leur lutte révolutionnaire, les peuples du monde doivent compter principalement sur eux-mêmes pour élever graduellement, au cours de la lutte, leur niveau de conscience et leur sens de l’organisation, et intégrer progressivement la vérité universelle du marxisme-léninisme à la pratique révolutionnaire de leur propre pays.
Nous avons toujours soutenu les luttes révolutionnaires des peuples des divers pays et c’est dans le peuple que nous plaçons nos espoirs. Sur la base des Cinq Principes de la coexistence pacifique nous développons nos relations avec les pays dont le système social diffère du nôtre et étendons nos contacts amicaux avec les peuples des autres pays, ce qui favorise non seulement le relâchement de la tension internationale mais encore la lutte révolutionnaire des peuples. C’est justement pour cette raison que les Cinq Principes de la coexistence pacifique dont notre pays est promoteur gagnent chez les hommes une adhésion toujours plus profonde.
Dans une situation internationale aussi favorable, nous devons nous efforcer mieux encore d’observer intégralement la ligne et les mesures politiques révolutionnaires définies par le président Mao pour les affaires étrangères. Nous devons nous unir avec les pays socialistes et le prolétariat mondial, avec tous les peuples et nations opprimés du monde, avec tous les pays et peuples épris de paix qui s’opposent à la politique du plus fort pour combattre résolument la politique d’agression et de guerre de l’impérialisme et du social-impérialisme, et en particulier pour démasquer le complot du révisionnisme soviétique qui simule la détente et se livre à l’expansion, et lutter pour le relâchement de la tension internationale et la sauvegarde de la paix mondiale.
Notre ligne de conduite répond aux intérêts fondamentaux du peuple chinois et des peuples du monde, et c’est seulement en agissant de la sorte qu’il est possible d’amener réellement un relâchement de la tension internationale et de sauvegarder réellement la paix mondiale.
A l’intérieur de notre pays, la situation est également excellente. L’éducation sous le rapport de l’idéologie et de la ligne politique a pris encore plus d’extension et la critique du révisionnisme et la rectification du style de travail se poursuivent en profondeur. En étudiant avec sérieux le marxisme, le léninisme, la pensée-maozedong, en stigmatisant les crimes contre-révolutionnaires des escrocs du genre de Liou Chao-chi et en critiquant leurs absurdités réactionnaires, les cadres et les masses ont accru leur capacité de distinguer le vrai marxisme-léninisme du faux et élevé leur niveau de conscience quant à la lutte entre les deux lignes. Et c’est précisément pour ces raisons que les acquis de la Grande Révolution culturelle prolétarienne ont pu être encore consolidés et développés.
Avec le déroulement en profondeur de la critique du révisionnisme et de la rectification du style de travail, la direction unique exercée par le Parti s’est encore renforcée. Et les diverses mesures politiques prolétariennes formulées par le président Mao sont encore mieux appliquées. Le Parti, l’armée et le peuple de nos diverses nationalités sont encore plus unis. L’Armée populaire de Libération de Chine connaît un nouveau renforcement sur les plans tant politique que militaire. Le potentiel de notre défense nationale est devenu plus puissant.
La dictature du prolétariat est chaque jour plus solide. De nouveaux succès ont été obtenus dans le mouvement de masse dit : Que l’agriculture prenne exemple sur la brigade de production de Tatchai, que l’industrie prenne exemple sur l’exploitation pétrolière de Taking, et de nouveaux progrès ont été accomplis dans les autres secteurs de l’économie et sur le front de la culture et de l’éducation.
Notre grande patrie connaît une vitalité et une prospérité croissantes. Les nouveaux développements de notre révolution et de notre édification socialiste, les nouveaux succès sur le front diplomatique, ce sont là autant de victoires de la ligne révolutionnaire prolétarienne du président Mao, de la ligne du IXe Congrès du Parti. Dans l’histoire comme dans le temps présent, l’expérience a maintes fois corroboré cette vérité :
« La ligne idéologique et politique est déterminante en tout. »
Il y a dix ans, lors de la dixième session plénière du Comité central issu du VIIIe Congrès du Parti, le président Mao avait formulé, en termes explicites, la ligne fondamentale de notre Parti pour toute la période historique du socialisme, et lancé son grand appel :
« Ne jamais oublier l’existence des classes et de la lutte de classes. »
Ce fut là le prélude de la Grande Révolution culturelle prolétarienne. La lutte entre nous et les escrocs du genre de Liou Chao-chi se ramène en définitive à la question de savoir s’il faut maintenir cette ligne fondamentale du président Mao ou la modifier. Au cours de la Grande Révolution culturelle prolétarienne, nous avons démasqué ces arrivistes bourgeois qui s’étaient si soigneusement camouflés, brisé leur complot de restauration du capitalisme et liquidé leur ligne révisionniste.
C’est là une grande victoire. Cependant, la lutte de classes et la lutte entre les deux lignes vont se poursuivre longtemps encore. Nous devons graver dans notre mémoire la riche expérience acquise ces dix dernières années dans la lutte de classes, maintenir fermement la ligne fondamentale du Parti, nous en tenir à la continuation de la révolution sous la dictature du prolétariat, et nous unir pour remporter des victoires encore plus grandes.
Ce que nous avons de plus important à faire, c’est, comme toujours, de mener de façon approfondie l’éducation sous le rapport de l’idéologie et de la ligne politique, de mener à bien, avec le sérieux qui s’impose, la critique du révisionnisme et la rectification du style de travail. Il faut mettre pleinement à profit ces professeurs par l’exemple négatif que sont les escrocs du genre de Liou Chao-chi, afin de pousser plus avant la critique du révisionnisme sur les plans politique, idéologique et théorique. Si l’on veut mener en profondeur la critique du révisionnisme et la rectification du style de travail, avec la réalité, et dresser sans cesse le bilan des expériences acquises.
Nous devons étudier assidûment les œuvres de Marx, d’Engels, de Lénine, de Staline et du président Mao de façon à porter à un niveau supérieur notre connaissance théorique du marxisme-léninisme. Il faut observer le principe de la liaison entre la théorie et la pratique, principe que le président Mao a toujours préconisé, renforcer la grande critique révolutionnaire et distinguer la ligne juste des lignes erronées, tout cela afin de donner une impulsion à la lutte-critique-réforme pour qu’elle continue à se développer sainement dans· tous les domaines.
La situation excellente qui règne sur le plan international comme à l’intérieur de notre pays nous fait un devoir d’accélérer le rythme de l’édification du socialisme. Les camarades de tous les secteurs doivent redoubler d’ardeur, aller toujours de l’avant et déployer leurs efforts pour mener à bien le travail dans tous les domaines.
Il faut de tout cœur prendre appui sur la classe ouvrière et sur les paysans pauvres et moyens-pauvres ses alliés les plus sûrs.
Il faut continuer à observer intégralement les différents principes politiques prolétariens formulés par le président Mao et concernant notamment les cadres, les intellectuels et l’économie ; unir à nous toutes les forces susceptibles d’être unies et faire jouer tous les facteurs positifs.
Il faut appliquer sans défaillance la politique générale de développement de l’économie nationale en prenant l’agriculture comme base et l’industrie comme facteur dominant, pour que le plan de l’économie nationale soit accompli intégralement.
Il faut mener à bien la révolution dans l’enseignement, les lettres et les arts, et les autres secteurs de l’idéologie et de la culture. Il faut encourager chacun à être à la fois rouge et expert, à enrichir ses connaissances professionnelles, à élever son niveau d’instruction et à étudier la technique sous l’égide de la politique prolétarienne et dans l’intérêt de la révolution.
Il faut continuer à renforcer l’édification de l’Armée populaire de Libération de Chine et de la milice populaire ; cimenter l’unité entre l’armée et le gouvernement, et entre l’armée et le peuple, maintenir un état d’esprit de constante préparation, redoubler de vigilance et défendre la patrie. Nos compatriotes de Taïwan sont des frères auxquels nous sommes unis par des liens de chair et de sang. Nous leur témoignons notre profonde sollicitude. Nous libérerons la province de Taïwan, territoire sacré de notre patrie !
Dans la conjoncture de la victoire, il importe que nous maintenions intact le style fait de modestie et de pondération, de vie simple et d’ardeur au travail. Il faut faire de la mise à l’honneur de l’esprit prolétarien et de la lutte contre les mauvaises lignes de conduite une partie essentielle de la critique du révisionnisme et de la rectification du style de travail.
Le président Mao a dit :
« Il est une qualité de prix : C’est de pouvoir se faire une juste idée de soi-même. »
Les camarades dirigeants aux divers échelons doivent
« se garder de la griserie du succès et penser souvent à leurs points faibles, à leurs insuffisances et à leurs erreurs ».
Ils doivent rester fidèles au centralisme démocratique et à la ligne de masse, observer de façon exemplaire la discipline du Parti et de l’Etat, se soucier de la vie des masses, partager joies et peines avec elles, et s’opposer aux privilèges. Nous devons faire de cet enseignement du président Mao une réalité :
« L’objectif que nous nous proposons d’atteindre, c’est de créer une atmosphère politique où règnent à la fois le centralisme et la démocratie, la discipline et la liberté, l’unité de volonté et, pour chacun, un état d’esprit fait de satisfaction et d’entrain, et cela afin de favoriser la révolution et l’éducation socialistes, de surmonter plus facilement les difficultés, de mener à un rythme relativement rapide l’édification d’une industrie et d’une agriculture modernes dans notre pays, et de rendre notre Parti et notre Etat plus solides et mieux aptes à traverser des situations dangereuses. Le thème général, c’est la juste solution des contradictions au sein du peuple. La méthode à adopter à cet effet, c’est la recherche de la vérité dans l’examen des faits et la ligne de masse. »
Notre révolution a un avenir lumineux.
Il n’est aucune force qui puisse entraver la triomphale progression de notre peuple.
Sous la direction du Comité central du Parti avec le président Mao à sa tête, il nous faut faire la révolution et promouvoir la production, améliorer notre travail, nous préparer activement en prévision d’une guerre, et édifier notre patrie socialiste pour qu’elle devienne plus prospère et puisse apporter de plus grandes contributions à l’humanité !